J’ai envie d’aller plus loin encore dans mes analyses de « tout ce travail » interne et en « confrontation » avec TOI  …

TOI,  qui viens sonner à la porte de mon lieu de rencontre pour y déposer tes craintes, tes peurs, tes incompréhensions, tes déceptions et tes espoirs aussi;

Ton énergie qui ne sait plus où donner de la tête;

Tes rêves d’enfant et ton envie, plus forte que tout le reste, de sortir de ta boite trop étroite …

Plus loin encore que je n’ai jamais fait jusqu’à présent, non empêchée par ma volonté toujours trop empressée, mais par mes propres limites, avec lesquelles je joue, je jongle, je triche des fois.

Je suis la même et pourtant j’ai l’impression d’avoir tellement changé.

Trois années à temps plein à être partie en spéléo dans les sous-sols de mon âme, trois années où j’ai accepté, peu à peu, de déposer l’espoir de pouvoir revenir en arrière, quoi que je trouve.

Ce choix est difficile. Bien plus qu’il n’y parait…. Parce que, quoi qu’on en dise, même si on vit dans la fange parmi les cochons et que ça empeste, et bien … on la connait, sa fange. On y tient au final, à nos cochons et notre auge. Sinon, de toute manière, si c’était si simple, pourquoi tous ne le feraient pas ??

Pourquoi, alors que nous sommes convaincus que le monde tourne à l’envers ou sur la tête, ne nous empressons-nous pas de « faire autrement » ? De partir en courant, de s’allier tous ensemble pour renverser, à coup de millions d’idées et de projets plus créatifs et novateurs les uns que les autres, le SYSTÈME nauséabond dans lequel nous vivons et duquel nous nous plaignons… particulièrement les français (ouais, je me lâche un peu 😆 ) ?

 

La réflexion commence :

Je me rappelle un prof de socio, dans ma vie d’étudiante en psycho, qui nous a un jour posé 2 questions/réflexions qui m’ont marquée au fer rouge :

 

  • La première était la suivante : « pourquoi, alors que la terre porte en son sein bien plus de ressources nécessaires à nourrir l’humanité et le règne animal entier, les hommes crèvent-ils de faim et/ou font-ils la guerre ? »
  • La deuxième : « En quoi ce « fait divers » (haha, je me rappelle que j’entendais perso fait d’hiver) est-il une erreur de jugement ? : « Un accident carambolesque a immobilisé une trentaine de véhicules. En cause : un brouillard épais. Qu’en pensez-vous ?

 

Et bien mes amis, ces 2 questions/réflexions m’ont alimentée pour les 20 années qui me séparent de ce moment.

La cause … dans les 2 cas est HUMAINE ! D’aucun dirait « l’erreur est humaine » et je me le confirme tous les jours.

Et comme je suis une fanatique de logique, si l’erreur ou la cause est humaine, j’en fait partie; donc je suis RESPONSABLE.

Ce constat logique pourrait te faire lever le sourcil et me dire « okkkkayyyyy, and then ?? »

Cela tombe sous le sens. En effet, comme je ne suis pas « hors humanité », je ne peux m’extraire de ce qui me constitue; au travers de mon histoire, ma génétique et l’histoire de l’Homme en général.

Ca, c’est posé.

Alors, pourquoi de pauvres hères ne parviennent finalement pas à s’extraire de ce magma collant dans lequel ils étouffent mais ne peuvent non plus y rester ? Se battant contre eux-mêmes dans un mouvement de plus en plus petit… « du lit au lit » le chantait si bien ce poète cher à mon coeur ?

La raison initiale (ou finale), je ne la connais pas. Personne ne la connait à ce jour, malgré les centaines d’hypothèse avancées. Force est de constater cependant que certains (on va les appeler zèbres tiens pour ne pas les nommer ou multipotentiels 😎 ) se ressemblent dans leur « non, non, non je ne suis pas d’accord avec le monde » et « oui oui oui, malgré tout ce que je vois, je ne PEUX rester ainsi à percevoir mais à me sentir si impuissant. »

 

Un jour, peu importe quand, une grosse « merde » (plus grosse que les autres) nous arrive alors sur le coin de la tête et c’en est trop ! La décision est prise …. IL FAUT aller voir !! Oui, parce que « pour changer » réellement de cap un jour, cela ne se passe rarement à coup de baguette magique dans la « vraie vie »…

La dissonance devient tellement forte que c’est « cacophonie sous caboche » et un seul choix s’impose à nous. Ou on y va ou on renonce totalement.

Renoncer veut dire « accepter » sa condition en sachant, sans aucun doute (pour une fois) que JAMAIS nous ne serons « réalisés »…. Peut-être « heureux » (je n’en sais rien) ou du moins « calmés » mais certainement pas réalisés. Ne vois aucun jugement dans ce que j’énonce, il n’y en a pas.. Il n’y en a plus.

Si tu choisis de ne pas renoncer, le voyage peut alors vraiment commencer. On part le cœur léger d’avoir pris la décision, excité aussi par l’aventure mais mort de trouille et en plein doute puisque voyage vers l‘INCONNU. Le cerveau en est persuadé !

Ce qui se passe alors s’avère être une « déconstruction« , non de la matière qui te constitue mais des liaisons qui se sont faites entre tes briquettes de l’égo 😎 (joliiiiii, auto-félicitation)

Le cerveau prend peur parce que les repères qu’il avait bien mis en place pour conjurer l’angoisse sont en train de se défaire. Wooooooo, panique à bord. Il se dit : « bordel, quelque chose est en train de péter ma maison« .

Les cellules s’affolent et le sol tremble. Certaines te hurlent en suppliant : « Retournons dans notre fange …. Elle est si douce finalement, je serai sage, promis !! » (Shrek l’a bien compris lui …)

 

Toute une armée se lève d’un bloc pour faire barrage à l’intrus. Elle est là, au garde-à-vous. Son taf est très clair :

 

  1. On a été programmé. Faut suivre le protocole !
  2. On protège le cœur, surtout s’il a déjà été « blessé » ! (la protection est proportionnelle à la blessure et l’hypersensibilité !)
  3. On ne laisse rentrer personne de trop près.
  4. Même pas celui qui nous a programmé.

 

Maiiis … Question à 1000 balles, madame la rigolote qui raconte des histoires à dormir debout :

 

« comment le pauvre hère, malgré toutes ses merveilleuses intentions de sauver le monde, à commencer par le sien, pourrait-il se ré-inventer si il est lui-même « fabriqué » par le monde ? »

(Lui, c’est le chiant du groupe, c’est « cartésien » que les autres surnomment « sceptique »)

 

« Wouf … mal à ma tête. J’ai rien compris … « 

(Et lui, c’est « rêveur », traité de « simplet » par les autres 😉 )

 

Sceptique : « En effet, comment créer quelque chose de neuf ? Pas possible. Le sujet est constitué de son histoire. Génétiquement, il est issu de cellules dont le codage ne lui appartient pas. Une grande part de sa vie est « inconsciente ». Il ne peut gérer de manière autonome ses décisions non plus du coup. Il est « programmé » et la seule volonté n’est qu’une toute petite partie des milliards de trucs qui lui échappent. »

Comment regarder l’intérieur de sa machine, alors que l’instrument de mesure en fait partie ?

Il ne peut SE VOIR !!

 

Simplet : Eeeeeeet merdeuuuu, t’as raison sceptique. Sans repères, nous n’existons pas.

Sans regard de l’autre, nous n’existons pas. Nous n’avons pas de référentiels et sans référentiels, nous ne pouvons nous voir. Attends, je réfléchis.

 

Et sceptique de répondre : Haha .. Tu brûles. Tu viens de le dire !

 

Simplet : Quoi ? « sans repères, nous n’existons pas ? » … Ok, mais les repères que j’ai sont ceux que je veux changer ou quitter, donc comment je fais ?

 

Sceptique : « Tu réfléchis ! »

 

Simplet : « Mais oui, mais je ne trouve pas….. « 

 

Sceptique : Parce que tu es aveuglé mon ami. Tu es dans ton propre repère et tu te braques sur l’une des « significations » du mot « réfléchir ».

En voici la 2ème … enfin non, l’initiale :

Réfléchir, au sens littéral, évoque le fait de refléter et renvoyer la lumière. Le sens s’est élargi pour caractériser le fait d’utiliser et d’entraîner son raisonnement.

 

Ok. Je comprends. Donc, pour toi, nous devons trouver un miroir pour réfléchir ce que nous ne voyons pas ? Et si moi je « te » réfléchis » mon bonhomme, je vois que tu es un peu tatillon sur les bords et que si nous voulons « sauver le monde » … va falloir pas viser trop petit hein… J’ai plein de projets moi et si tu veux, on les construit ensemble … On va commencer par aider tous ceux qui souffrent, nettoyer notre planète à commencer par notre fange. Ensuite, je voudrais apprendre aux jeunes qu’il faut rêver un peu et leur expliquer tout ce qu’on sait pour ….

 

Sceptique : Olaaaaaa !!! Attends attends ! Je ne suis pas borné, je suis juste un peu plus cartésien que toi et faut pas faire n’importe quoi.

 

Et bla bla bla …. Sceptique et Rêveur se chamaillent et au final, rien ne bouge.

 

On touche le point de « rupture » !

 

Voilà bien notre paradoxe humain. C’est ce qui se cache derrière les termes si difficiles à comprendre, comme celui de : « prendre du recul ». Nous le comprenons, nous savons que c’est juste pour « se voir » et donc, « changer d’angles » MAIS il peut-être compliqué voire impossible de prendre de distance  suffisante que pour « voir » comment sortir de l’impasse, du cercle vicieux.

 

Pourquoi ?

Parce que le labyrinthe dans lequel nous sommes est construit par notre cerveau; celui là même qui cherche les voies de sortie.

Des prises de recul, nous en faisons quotidiennement et cela fonctionne la plupart du temps.

Nous sommes des machines d’adaptation et de survie. Nous ne nous rendons pas compte à quel point souvent, surtout lorsqu’aucun élément extérieur plus périlleux nous force à être plus « instinctif ».

Le « confort » n’est pas notre meilleur ami pour cela !

 

Pour raccrocher à la « multipotentialité » et c’est l’une de mes constatations essentielles; le talon d’Achille se situe dans l’intensité ! C’est notre pouvoir le plus grand comme la faille la plus profonde aussi.

L’hypersensibilité que chaque zèbre croisé jusqu’à présent (en tout cas, tous ceux avec qui j’ai pu travailler et ça commence à être représentatif) reconnait, est LE point commun entre TOUS. Il voit le combat intérieur souvent, parce que lorsqu’il m’appelle, il en est déjà loin dans son introspection… Forcément, d’abord trouver par soi-même parce que c’est essentiel pour percuter.

 

Maiiiiis, il y a un point où ce n’est PLUS possible !!

 

Ce point touché, pour que tu percutes toi aussi, peut être traduit de différentes manières, mais le socle est commun : c’est quand on VOIT le problème, qu’on pèse un côté puis un autre, en étant persuadé de « toucher » l’essentiel MAIS qu’on arrive pas à prendre une décision et on s’épuise !

 

Si on se place d’un côté du ring, on est capable d’argumenter et de trouver cela hyper logique (on peut même en refaire le tour 10 millions de fois pour vérifier 🙄 ) : on sait qu’on est « bon ».

Puis, lorsqu’on passe à la partie adverse du combat intérieur : on peut argumenter tout pareil, en étant tout aussi ok avec tout.

Mais, entre les 2 : pas de pont !! Quelque chose d’indéfinissable nous échappe !!

C’est cette « rupture » de dialogue intérieur, cette impossibilité de faire se rejoindre 2 essentiels pour nous que le « miroir » devient à nouveau essentiel.

 

Pourquoi « à nouveau » ?

Parce qu’il nous est essentiel dès le début de notre vie… la RECONNAISSANCE commence par là. Sans une « confirmation » de ton existence par le regard extérieur (les bras, la parole, le sein, la cuillère, le câlin, l’apaisement, les encouragements), tu n’existes pas ! Le monde devient alors anxiogène et la « sécurité intérieure » est fragile. L’enfant que tu es, insécure, passe alors une bonne partie de son énergie à SE CRÉER lui-même ses remparts de protection avec ses petits moyens.

 

Nous fonctionnons TOUS ainsi … certains cependant ont moins de filtres ! Tu vois de qui je parle ???

La « sur-efficience » prend tout son sens, comprise ainsi. « L’auto-protection » vitale qui se met en place est proportionnelle à l’insécurité ressentie. Celui que je nomme « hypersensible » (moins de filtres) est sur-entraîné, dès le plus jeune âge, à se protéger contre les agressions extérieures. Il en devient sur-efficient en matière de « défense ». Ses mécanismes sont huilés et un jour, il ne voit plus qu’il s’est enfermé dans sa tour. Retour au 4 règles de l’armée protectrice vues plus haut.

 

La cause de tout ceci ?

Pourquoi la taille du filtre ?  On s’en fout. Oui, on est tous différent et il serait intéressant (pour avancer vers soi et les autres) d’arrêter d’imaginer qu’il y a les « bons » d’un côté et les « mauvais » de l’autre; les « normaux » et les « différents ». Tant que nous restons dans ces termes finalement (enfin, ce qu’ils sous-entendent), nous clivons au mauvais endroit ou du moins, on enferme dans une « non-résolution » possible. Or, pour trouver « nos solutions humaines », en respectant nos « manières naturelles » de fonctionner, il est utile de prendre à la fois de la distance par rapport aux croyances qui sont véhiculées (même inconscientes) et de prendre de la profondeur par rapport à une meilleure écoute de soi.

 

Exemple concret entendu pas plus tard que ce matin :

« Je suis ingénieure. J’ai choisi mes études et mon travail mais je m’emmerde aujourd’hui !

Je désire changer de voie. J’ai fait des bilans de compétences. Je connais mes valeurs. J’aimerais « être utile » et utiliser autrement tout ce que je sais et tout ce que j’ai appris MAIS je n’arrive pas à choisir vers quoi !!! J’ai regardé plusieurs pistes mais je n’arrive pas à me lancer. Je ne sais absolument pas si c’est la bonne piste, donc je n’arrive pas à me lancer et en attendant, je souffre avec cette impression d’une perte de temps et surtout l’espoir de trouver et de ME trouver ! »

 

Des exemples comme celui-là, j’en ai des dizaines et des dizaines, à commencer par le mien.

 

L’erreur d’approche est simple à comprendre et complexe à accepter.

Lorsqu’un « combat interne » à part égale se produit, nos réflexes sont de projeter des résolutions par la « fin ». Je cherche à me ré-orienter. Je liste mes compétences. Je les fais valider pour « prendre de la distance » et je trace plusieurs pistes que je vais réduire jusqu’à trouver MA voie.

Mais mais mais ….. Dans ce processus, j’omets l’essentiel : qu’est-ce qui m’anime au fond et qu’est-ce qui, surtout, m’a amené à ne PLUS trouver de plaisir ou de sens à ce que je faisais ??

Nous avons les « raisons officielles » ou du moins, celles que nous avons pu déduire de manière logique MAIS nous ne touchons pas à ce qui nous pousse vraiment à faire table rase et sortir de notre « fange » (image of course)… Tout simplement parce que nous ne cherchons pas au bon endroit.

Quelque chose de l’ordre d’un dialogue interne de « sourds » est présent, parce qu’il est de l’ordre de l’affect et touche de près les remparts si longuement entretenus par le soin de nos armées internes.

 

Je l’ai déjà dit dans le dernier article, « la volonté ne suffit pas ! » car nous touchons au « cœur » et que ce dernier ne s’est parfois plus exprimé depuis belles lurettes ! Il a bien souvent été « raisonné ». Ce cœur a besoin d’être entendu. Il a besoin d’être vu, reconnu et de pouvoir exprimer ce qu’il n’a pu exprimer jusqu’à présent.

Si tu savais à quel point j’entends des « horreurs » de vécu souvent, énoncés sous ce que l’on surnomme en thérapie « le sourire du pendu », qui en dit telllllllement long sur la « non-reconnaissance » personnelle de l’inscription d’une « souffrance passée ». Cette dernière n’est pas forcément toujours un acte traumatisant incroyable … Non, mais le vécu lui, si. Le « sourire du pendu « est l’expression d’un vécu « compliqué » qui pourrait faire pleurer dans les chaumières et qui est dit distraitement, rapidement souvent, avec un air de dire « mais ça c’est pas grave » … c’est « factuel ». Le ressenti a été « raisonné » mais non « reconnu » et donc « non évacué ». Il agit en sous-marin. 

 

J’ai fait de même pendant des années ! La reine de l’embrouille. (pire que Didier– Big up à un multi que j’adore)

 

Et bien, tous ces « raccourcis » de langage trahissent des inscriptions non réglées, à RE-VISIONNER en priorité. Non pour revivre l’événement qu’on veut à tous prix oublier, mais pour libérer la blessure qui s’ouvre sur un « moment passé » qu’on n’a pas pu reconnaître à l’époque et lui offrir enfin une cicatrice propre . Impératif de remonter là où le « processus » s’est enclenché (ou arrêté) ! Et non … ça ne prend pas 3 plombes. Il y a le TGV qui emprunte la voie centrale et qui s’appelle « voyage au creux des ressentis et des émotions ».

 

That’s all !

 

Quand on VOIT cela, on peut se dire ensuite « haaaaa, c’était donc ça » et d’un coup, l’énergie tant utilisée à camoufler retrouve la voie de sortie. Le cerveau comprend enfin que c’était un « écran de fumée » et lâche le nœud qui te serre la gorge.

 

La seule manière d’oser braver ses peurs pour aller à la rencontre de ses « traumas » déguisés sous nos paradoxes est de le partager avec quelqu’un qui sait intrinsèquement « comment ça fait » d’y aller et qui peut « ressentir » avec toi quand et où ça se passe. Sans cette sensation vécue par ton « miroir », tu ne passeras pas. Crois-moi, j’ai cherché.

Pourquoi ? : parce que si ton miroir réagit comme toi, par le fuite … et ben, vous serez 2 à cavaler, mais pas dans le bon sens. C’est pour cette raison, intuitivement au départ, que j’ai à la fois été attirée par la psycho MAIS que je n’ai jamais pu ouvrir de cabinet de psychologue. Question de « posture » proposée. 

Le psychologue « diagnostique » … La thérapeute que je suis devenue RESSENT et a franchi le rubicond de ses terreurs les plus primitives pour oser enfin se proposer comme « passeuse de fossé » ou « fossoyeuse de passé » (yes, 2ème auto-congrat à mon cerveau libre). La boite à out’s a ses valeurs évidemment mais ce n’est pas parce qu’on a un joli marteau qu’on est forcément un bon bricoleur ! (ce n’est pas la taille qui compte dirait un homme 😉 )

 

Lorsque ce pont se franchit et que l’armée se rend compte du subterfuge, elle baisse enfin les armes et tout le petit monde que tu abrites peut enfin se mettre à table pour remettre de l’ordre dans ton histoire. C’est « banquet », le « monstre » est vaincu. Tu ne sais pas encore ce que tu vas décider mais tu te rends compte que tu as enfin toutes les cartes en main et que « simplet », tout excité, ressort alors tous ses dossiers sous l’œil protecteur mais rassuré de « sceptique » qui peut ENFIN souffler un peu.

 

Un nouveau dossier s’ouvre et s’intitule : « Y a plus qu’à » ….

 

 

 

« Les personnages et les situations de ce récit étant purement DU VECU, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que INfortuite. »

 

To be continued …