J’entends tous les jours, au contact des personnes qui prennent rdv ou démarrent l’accompagnement 

« Mais ça je le sais déjà, j’ai bossé sur ma blessure d’abandon, de trahison  …. »

« Cela fait des années que je m’intéresse au développement personnel et que je travaille sur moi … »

« Je sais cela, au bout d’autant de thérapies, de stages, de coachings. Je l’ai déjà vu, lu, su … »

Je connais cela par cœur aussi car j’ai compris personnellement que :

lorsque tu « sais » quelque chose mais que tu n’en fais rien (que tu gardes ton problème, ta tension, les mêmes questionnements sous d’autres formes) …. Ben, c’est que tu ne SAIS pas !

Tant que nous parlons de changement, c’est que l’opération intérieure n’est pas faite.

Lorsque le « déclic » se fait, le problème n’existe plus et tu dois même faire un effort de mémoire pour te souvenir de la sensation du blocage. C’est le seul VRAI repère.

Heureusement que nous fonctionnons de la sorte. Sans cette fonctionnalité naturelle, notre cerveau exploserait d’informations. Nous serions un ordi !

 

Comment le sais-je ?

Car, j’utilise, entre autre, depuis 4 ans un outil magique que je propose d’ailleurs comme baguette de sorcier en accompagnement : l’écriture !

J’ai ouvert un carnet perso et j’y écris quasiment tous les jours. Il est devenu mon compagnon de voyage. C’est mon témoin. Il m’arrive, bloquée dans un nouveau virage, de le parcourir et, à chaque incursion dans ces lignes passées, je m’émerveille de mon cheminement avec tendresse. C’est devenu mon premier mentor.

Au début, il ressemblait plutôt à un plaidoyer, un peu tendu et agressif. Peu à peu, mon écriture s’est déliée et, avec la persévérance et l’habitude, il est devenu mon double interne.

J’y pose, sans jugement ni recherche de perfection, les mots qui se délient et traduisent fidèlement mon « état d’être ». Il est ma mémoire réelle car vécue chaque jour. Je passe dans la matière en prolongeant les sensations et pensées libres, qui se transforment en s’inscrivant et qui ont le pouvoir de transformer l’intérieur en feedback de reconnaissance. Je suis entendue. Je m’entend et me reconnais. Surtout, c’est de moi à moi donc je ne dépend pas d’une validation extérieure à ce stade là.

C’est hyper puissant.

Ce processus est, entre autre chose, un passage du mental au ressenti et du ressenti déposé une nouvelle réalité. Je ne suis jamais la même une fois fini. J’ai transformé quelque chose.

La connaissance est méga importante oui, la compréhension de cette dernière aussi, l’intégration quand à elle , ne peut se faire qu’à partir de l’expérience et de l’expérimentation !

Tant que la confrontation entre ce que je sais et ce que je vis n’a pas été faite, la connaissance restera de la théorie et viendra nourrir mes croyances mais ne me fera pas bouger intérieurement.

C’est de cela dont je parle en énonçant que tant que je sais mais que rien ne bouge, c’est que je ne sais pas !

C’est donc devenu, par extension, le coeur de mon travail et un réel plaisir.

Je ne suis pas à l’écoute de ton histoire telle que tu « te » la racontes, je suis installée ailleurs et observe ce qui ne se dit pas, ce qui se contre-dit, ce qui crée, de manière « non-verbale » ET verbale par tes mots employés, la direction du chemin à suivre. Pour arriver à cette posture, je me dois de l’avoir fait pour moi, sinon, je n’y ai pas accès. Je rentre alors dans la logique du langage, en surface, et me laisse endormir et emmenée dans le problème. Et cela m’arrive souvent, m’indiquant alors en retour vers moi, preuve que je reste arrêtée sur quelque chose où moi j’ai un truc à reconnecter 😉

On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème. (A. Einstein)

C’est un vrai travail de boxeur. Pas celui qui frappe mais celui qui sautille et tourne autour, non de son adversaire dans mon cas, mais de ses mouvements. C’est évidemment une histoire de recul et de changement de perspective.

Dans cet ordre d’idées, la ou les demandes initiales qui t’amènent à consulter, ne sont JAMAIS que la porte d’entrée, le dessus de l’Iceberg, le drapeau planté pour indiquer le début du sentier à suivre. La fin du travail sonne lorsque je suis obligée de te rappeler pourquoi tu avais fait cette démarche !

Elle est là la magie. Lorsque tu viens avec un problème épinglé et que tu ressors avec des réponses inattendues. Tu as repéré le problème et tu t’es empêtré dedans en essayant de lui trouver une solution à la surface; mais le problème du dessus (lorsqu’il devient épineux) est la conséquence de quelque chose non résolu car non vu antérieur.

 

Le jour où j’ai percuté ce phénomène, j’ai enfin compris POURQUOI je n’avais jamais pu ouvrir un cabinet de psychologue !

J’ai souffert une bonne 20taine d’années en me posant cette question : pourquoi diable ai-je passé 5 années sur les bancs de la fac, jusqu’à valider ce sésame de diplôme et que j’ai fait 10 000 métiers mais pas celui que j’avais choisi initialement. Pourquoi je ne me sentais donc jamais à ma place, en cherchant, partout ailleurs, à « faire (de) la psy » sans m’être auto-validée, sans m’être choisie, définie et acceptée en tant que telle ???

Le dessus de mon iceberg m’a amenée à être persuadée qu’il s’agissait d’une maladie étiquetée « syndrome de l’imposteur ». J’ai cru profondément en cet auto-jugement, m’enfermant dans ce discours qui m’offrait tant et tant de preuves dès que j’en cherchais en fait. Ce faisant, j’activais un biais cognitif de confirmation !

Je restais, par cette croyance frôlant la certitude, dans MON problème, dans mon dilemme non résolvable.

Heureusement que la vie nous place incessamment devant nos dilemmes .. Non pour nous faire Ch*** comme je l’ai cru plus d’une fois, mais parce qu’elle nous tend les bras en nous disant, vas-y, ré-essaye, tu vas y arriver !!! Tant que tu résistes, le problème persiste !

Partant donc du syndrome d’imposteuse (oui je féminise !!), je me suis mise à avaler quantité de connaissances sur le sujet, prenant conscience que, collé à ses basques, il était accompagné d’un pote tout aussi antipathique que lui : le saboteur. Fière d’avoir identifié mes 2 ennemis jurés, j’ai parcouru ce chemin, avant de faire de nouvelles découvertes.

Une première lueur et un vrai précurseur de déclic fut, lors de ma formation (pratique !) en thérapie brève, d’entendre parler de : « levée des désignations ». Cette « contre-injonction » me fit frémir d’inquiétude et, en même temps, quelque chose en moi criait « bon sang, mais c’est bien sur !!! » Imagine bien que, pendant 5 ans, en psycho, on m’avait inculqué l’inverse ! Il suffit d’ouvrir le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) pour comprendre la volte face à faire. Ce manuel décrit, définit comment te placer où, d’après une grille lecture qui classe … Bref. Tu cherches ta catégorie entre névrose et psychose, tu choisis ton siège et puis ceci explique cela … Je ne vais pas bien PARCE QUE je suis bi-polaire !

C’est à cause de la bipolarité que blablabla et pis c’est tout ! La cause est la bipolarité, l’effet est que je ne me sens pas bien. Basta. La messe est dite, tu peux aller te re-coucher parce que tu n’y peux rien…..

 

« Levée des désignations » … double effet simultané chez moi :

  • Inquiète, car, depuis quelques mois, j’avais pu mettre un mot sur un « type de personnalité » : le zèbre, dans lequel je me reconnaissais tellement et que là, d’un coup, on me proposait de mettre à terre tant et tant de début de certitude. Arrrgggg, impression que mon château de cartes s’effondrait à nouveau = angoisse.
  • Excitée aussi car une vérité se faisait pressentir, à laquelle tout mon corps réagissait.  « Levée des désignations » veut bien dire que RIEN ne peut nous enfermer dans un état d’être figé. Donc, rien ne pouvait s’imposer comme « fatalité » à notre être en devenir constant. OUF …. Quelles sensation enivrante de liberté et d’ouverture d’un illimité riche en promesses. Je ne suis pas TOUT LE TEMPS « comme ci » ou « comme ça ».

Cette « levée des désignations », autrement dit : stop aux étiquettes, a pris son temps pour creuser mes réflexes cartésiens binaires analytiques, m’amenant à percuter cette « connaissance » par un autre chemin : à nouveau celui de l’expérience. Je me retrouvais sans cesse face à des patients venant me demander s’ils étaient zèbres ou non !

J’avais beau argumenter et tenter de répondre au mieux à cette question redondante, mes propres réponses me laissaient une sensation de frustration …. Parce que je me posais la même question, sur le même niveau de compréhension.

A force de ne pas trouver et pourtant d’être remise sans cesse devant cette épineuse question, j’ai bien été obligée de percuter, une nouvelle fois. Je n’y trouve pas de réponse satisfaisante … parce que la question n’était pas la bonne !!! Ou, en tout cas, elle n’est une fois de plus que la surface.

Je creuse cette inconfortable nouveau dilemme pour moi .. M’amenant à capter que si je désire ne plus me retrouver dans cette « mauvaise question », il me faut, non seulement, percer ce secret en mon âme d’abord et, ensuite, changer de positionnement/posture pour aider l’autre, en face, à modifier aussi sa question pour trouver, à son tour, son vrai chemin.

Et là, bingo, nouvelle connexion. Je dois accepter que je ne cherche plus de réponse à savoir si je suis ou non réduite à la désignation « zèbre » qui équivaut à une quête de reconnaissance extérieure au final, comme le petit badge à l’entrée d’un séminaire d’entreprise. Reconnaissance qui me fait chercher une case .. Alors que mon soucis majeur et premier a toujours été de ne pas apprécier les cases. Ni de près, ni de loin, ou alors pas longtemps. J’y étouffe. Elle tue ce que j’ai de plus puissant : mon pouvoir créateur.

De fil en aiguille, ayant trouvé en moi cette belle libération, j’ai enfin pu faire le lien entre le DSM – le zèbre – et le positionnement du psy. Ce cher étudiant en psycho (traditionnelle) apprend et est formaté, non pour aider l’autre à prendre la responsabilité de sa vie, mais bien de trouver sa case pour éteindre ses symptômes dérangeant. Je ne le savais évidemment pas à l’époque mais quelque chose en moi m’a poussée à ne pas m’asseoir dans ce siège proposé.

C’est en thérapie brève et sa fameuse « levée des désignation » que j’ai résonné aussi avec la posture d’équivalence proposée qui permet la « co-création » du cheminement. J’étais sur le chemin pour relier ce qui se disait en moi et une magnifique expérience personnelle pour faire rejoindre mon esprit, mon corps et mon cerveau. C’est le positionnement le plus naturel pour moi depuis toujours, même hors « métier ». Il est judicieux de prendre conscience que toute relation est un jeu de positionnement. Lorsqu’il y a un « maître » : celui qui sait, il y a TOUJOURS et automatiquement un « élève ». La position d’équivalence évoque le fait que je ne suis pas la « supposée sachante » face à l’autre mais que je l’accompagne, que je marche avec lui sur un sentier commun. Je ne diagnostique pas, nous créons une 3ème voie, somme des 2 nôtres dans laquelle nous questionnons ensemble ses problématiques pour remonter à la source.

Dans un travail d’accompagnement avec une telle posture, celui qui cherche ne trouvera ses vraies réponses QUE s’il les découvre lui-même et qu’il se les approprie de l’intérieur. L’objectif premier d’une libération profonde se joue dans la prise de conscience et de responsabilité personnelle… impossible à mes yeux, même si elle soulage, dans une relation psy/patient. Il y a encore bien d’autres nuances mais l’essentiel pour le sujet d’aujourd’hui est bien là.

 

Nous sommes bien plus qu’un multipotentiel ou zèbre !

Nous ne sommes pas un être monobloc mais multiple et, tant il est instructif de se découvrir et se reconnaître soi-même ET aussi auprès des autres, tant il est nocif de se réduire à une image de soi figée et définitive. Quel que soit notre profil (typique ou A-typique), le seul intérêt de se retrouver dans une statistique est de s’en détacher le plus rapidement possible pour progresser, grandir et marcher avec SOI plutôt qu’à côté. C’est, une fois de plus, de se reconnaître et de passer à l’étape suivante. Cette acceptation de cela et de SOI est essentielle pour poursuivre le défrichage et l’évolution. Nous ne sommes pas zèbres ou multipotentiels entièrement et uniquement. Ce n’est pas une identité, ce n’en est qu’une petite partie. Nous sommes bien plus que cela.

S’inscrire dans cet état d’esprit est le plus joli cadeau que l’on puisse se faire. Cela répond, en profondeur, à nos besoins Humains de réalisation de SOI. Il nécessite de se détacher peu à peu de nos conditionnements pour s’approprier notre cheminement et marcher vers nos rêves qui sont « notre SOI en devenir ».

Si je vais encore un peu plus loin dans ce processus, j’ai rencontré le même questionnement et les mêmes « prises de tête » (question principale du multipote d’ailleurs) concernant le titre de thérapeute 🙄 

 

Qu’ai-je donc choisi de faire concrètement pour sortir de ce labyrinthe ?

J’ai choisi de « me faire confiance ». J’ai lâché les titres intérieurement pour me brancher à mes expériences et mon besoin de créer ma propre manière d’accompagner, basée sur les questions et non les réponses, sur la reconnaissance des mêmes impasses et la proposition du pas sur le côté pour permettre à mon compagnon de voyage de regarder son « problème » par un autre bout de lorgnette. Dans un cadre rigide ou protocolaire, je m’ennuie. Le cœur du travail d’accompagnement est d’être soi-même en marche et prêt à créer avec ce qui est là, impermanent et en mouvement.

C’est tout sauf « confortable » souvent car, se faisant, on est obligé de lâcher la rampe et le cadre « théorique » rassurant… mais que c’est BON de faire confiance à ses ressentis et ce qui se crée alors ! On se sent VIVANT. On offre alors, naturellement, à l’autre, l’autorisation d’oser aussi se regarder autrement et peu à peu, se reconnaître dans sa multidimension. Nous devenons des « compagnons de route » dont l’objectif commun est de nous rendre vers le lieu de destination ultime, siège de son pouvoir créateur : son SOI unifié. Il a alors oublié le problème de surface pour voyager plus en profondeur et en vérité.

  • La suite de l’histoire n’est pas qu’il est guéri-e … mais qu’il ne se sent plus « malade » ou « décalé ».
  • La suite de l’histoire n’est pas qu’il ait trouvé une méthode infaillible pour être heureux, riche, en bonne santé et épanoui … mais qu’il a expérimenté-e son pouvoir de résolution de faux problème, attaché au passé, pour s’offrir la divine résolution d’écrire enfin son histoire dans le présent, les yeux rivé vers un avenir vers lequel il marche plus serein car il l’aura fait 1 première fois en toute conscience.

 

Je te partage, pour finir cette décision personnelle d’être QUI JE SUIS dans une activité choisie et qui se ré-invente au fil de mes rencontres, le cheminement magnifique d’Eric que j’ai l’immense plaisir d’accompagner.

 

3/6/2020 Carnet de voyage d’Eric – Autorisation/Éclaircissement

« Après cette proposition peut être révélatrice, commence une orientation vers cette particularité. Recherche nerveuse, hésitante et angoissée sur ce nouveau chemin. L’intuition continuant d’être mon radar, soutenu par le doute, j’ose m’orienter vers la bonne personne.

Le premier contact, après une séance de sophro, m’apporte satisfaction malgré mon manque de clarté. L’image et la voix(e) sont conforment à ma projection. Si je peux être compris, c’est qu’il y a un chemin !

Mes premières craintes énoncées sont de ne rien perdre, mais quoi perdre ?

Commence alors la description et le bouleversement. En me racontant, des perspectives apparaissent. L’autorisation à l’existence, à recevoir, à se nommer, dire « je », parler pour soi. Pour prendre sa place, il faut savoir qu’on en a une malgré le décalage, le doute et l’interrogation, ou plutôt avec ! J’ai senti la peine de Lara dans cet épisode. J’apprends à accepter la tristesse, à accepter d’être aimé juste pour ce qu’on procure, sans action. À ne plus se focaliser sur l’indispensable besoin de soigner tout le monde, à s’occuper de soi en pouvant affirmer ce droit.

En avançant, je peux m’enrichir d’émotions choisies, leur donner sens et vie, leur donner une fonction (Playlist) et/ou les laisser traverser. Une approche de la pensée ordonnée jouxte aussi l’incessante réflexion. Vient (bien sur !) l’interrogation sur l’après Lara. La dépendance à l’addiction fait surface. Peut être apprendre à ne pas avoir trop d’attente ? Puis se glisse implicitement la volonté de ne pas trop essayer de me placer dans le monde, moi qui m’y suis comparer à en perdre mon identité.

Revient soudain l’interrogation sur mon parcours thérapeutique, 25 ans de psychiatres ?? Quelles solutions ? Le chemin du travail abordant l’acceptation du constat d’origine et mes recherches personnelles mettent au clair le report de culpabilité que les autres vous font sentir à cause de la facilité, comme une imposture. Ces facilités qui finissent par vous faire croire qu’on vole la place d’un autre plus méritant alors que ce sont elles qui permettent de suivre ses propres règles et ses choix intérieurs.

J’arrive sur l’éclaircissement de ma période destructrice, comprenant qu’elle m’a permis de tisser du lien social , de repousser mes limites comme un nouveau défi, de découvrir des sensations plus fortes, d’obtenir une nouvelle image sociale. Mais quel désespoir dans les instants de conscience de ne pas être non plus à la bonne place !

Ensuite,j’ai réussi à construire un planning et faire plein de petites choses utiles (inutiles) pour moi. Une prise de conscience du moi enfant, qui est toujours là avec son immaturité affective, me permet de l’aimer et de m’aimer pour moi même. Merci à Lara pour la découverte de Franck Lopvet et ses particularités de pensée presque dérangeantes ; de Carlos Tinoco, qui nous rend intelligent et dont les chemins de pensée non camouflés me sont si familiers. Avec lui, on peut continuer à douter de tout sans que ce soit anxiogène.

En travaillant sur les faits de mes troubles anxieux, j’ai pu les quantifier, comprendre les événements et personnes qui m’ont permis de trouver des solutions. Peut être les remercier, moi qui me sent incapable de pardonner. Je ressens moins le besoin d’être celui qu’on attend, mon « qui suis-je » ne trouveras pas de réponse chez les autres. Non seulement je n’ai rien perdu mais ça s’est « lucidifié ». C’est de l’affinage émotionnel ! Et les caractéristiques se sont confirmées.

Évidemment, ce n’est que le début, j’ai d’autres guides pour mon introspection même si pour moi tout est sur le même plan, surtout maintenant que j’ai le sentiment de ressentir des choses plus finement, que mon intuition guide mieux mon chemin. Les phénomènes vibratoires sont présents, comme sil n’y avait plus de dedans et de dehors, comme un accès à l’invisible. Je prends ça comme un cadeau ! Merci à Lara et aux autres magiciennes.

À suivre… Éric »

 

Multipotentiellement, Lara

Créatrice du programme ReconneXion

J’accompagne les Etres Hautement Sensibles – profil multipotentiel/zèbre à oser briller de leurs multifacettes en passant du Soi masqué au Soi Libre !

Si d’aventure, l’aventure te tente,

La porte d’embarquement commence par une première rencontre (offerte)

Si tu es prêt-e à cheminer vers toi, je t’attend : Bilan session pré-accompagnement