J’ai un super truc à te partager maiiiiis je ne sais pas à quel moment de l’histoire je remonte…

  • « Il était une fois une fille inquiète ? »
  • « Tout a commencé par un saboteur omniprésent… ? »
  • Ou bien;  « Elle crut suffisamment en sa bonne étoile que pour oser dépasser ses peurs ? »
  • « Elle décida de lâcher la rampe, ferma les yeux, et sauta ? »

Je ne sais pas. Tout est juste et le choix du départ a finalement peu d’importance, je me suis lancée et j’ai survécu. 

The end 😉 

 

Allez, je démarre sur une expérience :

Je me pose sur ce vécu particulier de ma première conférence en ligne de cette envergure.

Envergure pour moi, non parce que je n’ai aucune expérience en prise de paroles en « public » maiiiis par le nombre de personnes touchées par le sujet et le nombre cette année au congrès douance !

Plus de 12 000 personnes !!(au dernier recensement ;-))

Rien que ce chiffre a failli me faire perdre tous mes moyens…

Evidemment, il n’y avait pas 12 000 personnes a m’écouter en direct (ouf) mais le principe est le même.

Ca fout les chocottes !

 

Et bien, je confirme ce que je sais, ce que j’ai pressenti, une fois de plus et en profite pour faire un « bilan », qui, je l’espère, t’apportera de la valeur.

Cela fait quelques jours que je réfléchis, sans réfléchir, sur cette expérience, et cela commence à faire sens.

Tout commence à se lier, comme d’habitude devrais-je dire.

Non parce que j’y réfléchis de manière à la disséquer ou l’analyser justement, mais parce qu’enfin, je commence à percevoir intérieurement et de manière plus dense et plus palpable la puissance du réel « lâcher prise » !

 

C’est tellement magique, tellement magnifique que j’en saute de joie, comme une gamine !

 

Je me rassemble pour tenter d’être « cohérente » et te traduire, avec des mots bien réducteurs souvent, ce qui se vit « à l’intérieur » et que tu pourras toucher en toi, pour ressentir à ton tour je l’espère.

Trois années complètes où les questions posées EN CONSCIENCE d’un côté se bousculent; nombreuses, puissantes, omniprésentes et cherchent les réponses avidement, en passant souvent à côté, alors qu’elles co-existent mais pas au même rythme ni au même endroit.

Je cherche UNE vérité et oublie ce que je sais intuitivement, il n’y en a pas… « UNE », mais bien plutôt un « état d’être » !

Je vis dans une sorte de décalage où mes évidences ont à peine le temps de respirer. Elles arrivent, toutes fringantes et joyeuses, soulagées d’être RECONNUES et n’ayant en prétention que d’un peu d’espace pour s’ébrouer. Elles sont alors balayées d’un revers de main pour rebondir sur d’autres questions qui attendaient leur tour.

« Tout faire en même temps », parce que cela nous fait goûter cet absolue puissance qui nous protège d’un ralenti trop angoissant.

 

Dans ce ralenti, notre peur du vide …. WAAAAOOOOOWWWW.

Angoissante car elle touche de ses ailes noires la certitude qu’un jour, non seulement, tout finit, mais aussi, plus sombre encore, que nous avons perdu jusqu’au sens du « pourquoi » tout cela ?

Pourquoi tant d’effort et pourquoi tant de résistance aussi ?

En ce jour, et je tenais à l’identifier et le marquer d’une nouvelle pierre blanche, je touche, du bout du cœur ce que je sais depuis toujours. Derrière le vide, il y a le plein, il y a le tout… et son contraire. Il y a le haut et le bas, le bon et le moins bon, l’amour et la peur; et il y a un seul choix, un seul.

Celui de traverser cet obstacle qui, une fois franchi, nous apporte enfin la réponse à toutes NOS questions. En traversant l’illusion que tout est « grave » et « gravé », que tout est séparé et quantifié, que tout est définitif et sans retour, on touche alors du doigt notre « illimité » et notre libre arbitre réel.

Et, boudu (vindiou, mon dieu, bordel – à choisir selon tes croyances) que c’est BON !

 

 

Je suis, de plus, totalement consciente aujourd’hui que c’est un lieu dont CHACUN possède la clé certes, mais dont la géolocalisation ne dépend pas QUE de la volonté pure et simple. C’est un lieu magique, un jardin verdoyant, qui se goûte sans que plus aucune « pensée » ne vienne interrompre par d’interminables monologues, la sérénité royale et le joie absolue.

 

Est-ce naïf ? Est-ce une chimère ?

Non, c’est un INSTANT. Pour un Instant, pour un instant seulement …. (Oui, Brel arrive toujours sans sonner..)

Qu’ai-je donc abattu comme montagnes pour avoir ainsi le privilège de le visiter, cet INSTANT ?

Tout et rien à la fois. J’ai gravi des sommets qui, une fois atteints, n’étaient en fait que des collines.

J’ai combattu des dragons qui, une fois touchés, avaient la taille de l’enfant.

Je me suis finalement, au bout de chaque bataille, retrouver face à … MOI.

 

Qu’y a-t-il donc de différent d’hier me diras-tu ?

Et bien, ce nouveau pas franchi, qui m’a confrontée à la PEUR*, m’a permis de me prouver, une fois de plus, que la PEUR disparait lorsque l’on ose traverser le miroir qui nous sépare de nous-même.

*du ridicule, d’être jugée, d’être muette, de perdre mes mots, de bégayer, d’être une imposteuse, d’être inintéressante, de pas avoir la réponse, d’être coincée, de perdre connaissance, d’être nulle … liste non exhaustive

Tu veux ressentir avec moi ? Tiens, mange ça, pour commencer  😉 

 

Je me suis rendue compte aussi, une fois de plus, que je SAVAIS déjà et que j’avais déjà goûté à cette même sensation bien plus que je ne le pensais MAIS en n’identifiant pas que c’était cet INSTANT que je désirais éternel ! Je voulais à tous prix l’enfermer dans un coffre, pour le préserver et venir m’y abreuver les jours sombres.

Or, et c’est bien là que se dénoue le scénario,… Il ne peut être enfermé !

Il doit être vécu, comme si c’était le premier, comme si c’était le dernier … à chaque fois !

Waaaaaaoooooo,  mais qu’est-ce qu’elle a fumé ? J’en veux aussi !!!!

(Rmq pour le lecteur que j’aurais « perdu », j’écris à plusieurs heures de la journée, en laissant se déposer mes mots écrits et en reprenant ensuite, au gré de l’énergie de l’INSTANT 😉 )

 

Mon message pour toi, que je ramène de ma caverne présentement traversée :

Le terme « d’auto-risation » que je malaxe depuis que je t’écris, pour en disséquer le sens profond et le mystère qu’il retient, vient de se marier en mon cœur avec un copain à lui, qui le suivait dans son ombre et qui vient d’oser se présenter à son tour : il se nomme « l’affranchi ».

 

Wiki mon ami nous dit ceci :
« 1. adjectif. Rendu libre. Esclave affranchi.
2. adjectif – Qui s’est intellectuellement libéré des préjugés, des traditions. »
 

Il a jailli l’autre matin (le copain, pas wiki) un peu gauche, un peu timoré, serrant contre son cœur d’enfant, tous ses rêves écrits sur un petit bout de papier tout fripé, tellement il le tenait serré serré…

Ce petit bout d’homme attendait son heure, patient et pourtant excité. Il attendait d’être appelé sur le devant de la scène, pour jouer le rôle de sa vie en apportant du sens à la mienne.

Il m’a tendu son trésor et, curieuse, je l’ai défroissé pour y lire ces quelques mots :

Nous t’aimons ma chérie

Ce n’est pas un genou, que je me suis enfin permise de poser au sol, mais les deux …

Des larmes, comme des torrents, s’écoulèrent alors et je sus qu’il était temps pour moi

Temps de déposer ce bouclier si lourd à porter, dernier vestige de mon armure, gardé « au cas où »

(pensée émue à Sandrine)

 

Ces quelques mots sont les miens, dans mon Histoire …

 

On ne peut lâcher prise QUE lorsque l’on a compris ce que l’on re-tenait !

On ne peut comprendre ce que l’on re-tient que lorsque nous sommes prêts

Nous ne sommes prêts que lorsque nous sommes prêts à TOUT perdre

 

Je croyais, dur comme fer que j’avais tout perdu, en 2012, au décès de mes parents.

Ma mère s’en allant avec son secret dans la tombe, scellant mon destin d’affamée d’Amour.

J’ai couru, dans tous les sens, persuadée que j’étais condamnée.

J’ai parcouru des km, gravi des Everest, en quête de « pardon » impossible, ni à émettre, ni à recevoir.

J’ai fui en croyant devoir « trouver » le Graal à l’extérieur de moi,

L’intérieur étant verrouillé parce que je n’avais pas été suffisamment aimante et aimable

C’est ce que je croyais….

Et pourtant,

 

 

Comme les comédiens, à la fin de leur représentation, je remercie sincèrement en cet INSTANT, les guides, anges, Ami-es, messagers qui ont traversé et traversent encore ma petite histoire. Font partie de cette liste TOUS mes accompagnés; ces (im)patients qui sont venus « par hasard » comme ils disent, pour me permettre de confirmer que :

Pour paraphraser Carlos Tinocco*, 

Trouvez-vous des copains … vivants !

*Intervenant du congrès douance, qui me parle énormément…. 

 

Et que : 

Nos vraies ré-solutions se logent à cet endroit précis où notre Humanité se rencontre ! (ça, c’est de moi)

A cette question mainte fois posée par les « chercheurs de sens » croisés, au hasard d’un chemin nommé « thérapie », voici donc MA réponse à cette question centrale qui est LA SEULE ET VRAIE QUESTION qui nous relie vraiment, quels que soient tous les « condition-nements » qui nous sont propres : 

 Comment s’aime-t-on ?

 

Relis mon Histoire dans ce partage et pose toi sur la tienne.

Que tiens-tu serré contre ton cœur et que tu dois lâcher en cet INSTANT ?

 

Je nomme cela : « acceptation profonde » ….  d ‘un « JE SUIS QUI JE SUIS« 

Entière et unie à moi-même

Traversée par des énergies qui ne m’appartiennent pas mais dont je suis dépositaire

Que j’ai CHOISI d’honorer et de transmettre ce que cette vie m’apprend chaque jour

Affranchie des Histoires portées par mes parents dont je ne garderai que l’Amour

Pour l’offrir à mon tour à mes filles qui font de moi aussi CELLE que j’ai choisi d’être !

 

Pour résumer au mieux ce que je vis en cet INSTANT

Je m’engage à vivre chaque journée le plus tendrement possible.

 

Ma proposition et le cadeau que je te tend :

Et toi, tu t’y engages ?

 

Le chemin traversé sur ces 3 années puissantes ont été un processus et non une finalité

Je suis extrêmement heureuse d’en avoir pu partager un bout lors de ce congrès

J’y ai ressenti des énergies comme la mienne, en quête de réponses

Avides d’écoute et de remises en question.

 

Je t’y ai invité-e. J’espère, si tu as pu le suivre, que tu y as découvert ce que tu étais venu y chercher ?

 

Tu y trouveras du « sur-mesure » pour toi, au travers d’Histoires comme la tienne.

Le congrès est à présent terminé maiiiiis, si le cœur t’y appelle,

tu peux t’y plonger, il n’est pas trop tard.

Il n’est JAMAIS trop tard !

 

T’es prêt-e ?

Je te laisse le lien vers le « pack potentiel », si tu arrives maintenant.

Dedans, tu trouveras une richesse incroyable car, TOUS les orateurs parlent de nous, de toi, de moi, dans ce qui nous relie. Chacun à sa manière, avec son Histoire, ses outils, son Humanité et son « message au monde ».

Nous qui cherchons, comme des furieux souvent, des « clés à tout va » ….

Tu y troueras un trousseau « spécial multipote !  » 

Dedans, et pour ma partie, j’ai pris soin de rassembler ce que je voulais mettre dans un 1er ATELIER, qui pourrait se résumer comme ceci : c’est un moyen d’aller au plus loin vers SOI, seul-e.

Sommes des 3 années d’expérience en tant que thérapeute multipotentiologue, et de plus de 30 ans d’introspection 😉 

 

 

C'est parti !

 

 

En toute Humanité, Lara.