Passer du passé au futur
Ouvrir l’angle de vision pour agrandir l’espace entre les molécules trop serrées qui nous entraîne vers l’IMMOBILISME délétère.
Le piège est tendu. Nous sommes sur un fil; des équilibristes qui ont, à chaque pas, le devoir de regarder devant pour ne pas chuter. Tout en surveillant et à gauche et à droite.
La concentration est extrême,
le danger ressenti,
la vie coule en nos veines
le monde tourne au ralenti.
Cette année ’20 sera une année de transition. Je le sens, je le désire aussi et tout me pousse de l’intérieur, comme les rouages d’une montre, à trouver mon rythme et à laisser partir quelques vestiges qui entravent et alourdissent encore mon pas.
Voilà la sensation qui me réveilla le jour de l’an neuf (enfin l’an 20 …)
Tout ce chemin parcouru …
Je me suis donc arrêtée, j’ai arrêté le temps pour poser mon regard sur l’ensemble du mouvement.
Comme sur toutes ces personnes qui me faisaient rêver, râler parfois souvent tant elles me rappelaient que moi, je n’osais pas. Je comprends en ce jour, en faisant un arrêt sur images, que OUI, je suis en train de le faire aussi ! La machine est lancée, le voyage bien entamé.
Je rebondis sur l’article précédent à propos du « changement », et appuie sur un détail tellement important :
si tu n’observes pas les détails », tu passes à côté de l’essentiel !
Est-ce grave ou définitif ?
NON mais tous tes « efforts » risquent d’être vécu comme vains alors que tu es déjà dans ta solution. Juste, tu ne la vois pas, tu ne lui donnes aucun crédit, trop aveuglé-e par ton impatience et le poids de tes « échecs » passés.
C’est par là que ça commence, par là que TOUT commence … Va falloir se désaper, voir, déposer et choisir.
Je réponds à LA question que je me suis posée au démarrage de mon voyage en terrain connu en 2016 et que je traduis comme LA question que déposent TOUS les zèbres dans ce même mouvement de « Rêv-olution » entamée lorsqu’ils poussent la porte de mon « cabinet » (non, décidément, va falloir que je me penche sur ce terme 🙂 )
Doit-on connaître/embrasser/visualiser la fin de l’histoire pour démarrer ?
Et j’y réponds en ce jour, après ces 3 années de périples entamées ..
ACHTUNG ! NON !! Surtout pas !!!! Pas comme ça, pas comme nous avons l’HABITUDE de le faire.
Wooooooooooooooo, je touche du doigt notre plus grande faille, s’il en est, d’EHS – Etres Hautement Sensibles (zèbres) : Notre BESOIN viscéral d’ABSOLU !
Tu sais, notre « tout ou rien », notre absence de « bouton stop », notre incapacité de « débranchement » ..
Cette caractéristique particulière qui a comme conséquence négative de nous entraîner un handicap majeur :
Le « dumalachoiz »
Pourquoi avons-nous tant de mal à choisir ???
Liste non exhaustive de « parce que » :
- Parce que nous investissons TOUT à chaque respiration.
- Parce que nous ne pouvons faire, ni semblant, ni les choses à moitié
- Parce que nous sommes sans filtres, sans recul, sans « zone de confort » telle qu’elle est communément définie et acceptée comme un lieu que tous auraient chez eux … Un implicite, un lieu commun, une évidence.
- Parce que, au fil des expériences incomprises, nous finissons par nous mettre « à part », à côté du monde, acceptant que si la « majorité » nous est étrangère, nous n’avons plus qu’à nous écraser en digérant nos « torts ».
- Nous acceptons d’abandonner, de nous abandonner …
Parce que, et c’est là que je te propose le saut quantique pour toucher ce qui m’a permis d’OSER exprimer de plus en plus librement, en lâchant les filets, ce qui se jouait dans mon âme d’aventurière : nous restons dans LE JEU défini du « si j’ai raison, tu as tort » et inversément. Parce que ce n’est pas avec ou contre l’Autre que nous jouons, mais avec ou contre NOUS.
En restant dans le système de pensées majoritaire, « pour ou contre », nous sommes toujours dans la matrice. Nous continuons à jouer au même jeu alors que nous en voyons l’absurdité, l’incohérence, l’absurdité (ab-surdité ?) mais, en ayant à cœur de « nous faire comprendre » pour garder le lien et donc, peu à peu ou de convaincre ou de s’écraser…. Seul-e au monde !
Les choix possibles : rebelle ou mouton. C’est un peu dommage non ???
Comment veux-tu choisir l’une de ces 2 alternatives ?
Si tu en choisis une, tu seras forcément dans l’opposition .. de l’autre, contre l’autre et donc, en « porte-à-faux », sous tension, en stress, jamais en paix, aux aguets ! Oui, puisque « l’Autre », tu ne peux t’en passer, jamais, sans y laisser ce pour quoi tu es là et qui donne su sens à la vie : ton HUMANITE !
D’autant plus que l’énergie utilisée dans ce combat solitaire et vain ne nous est ni saine ni efficace. Au bout du compte, même si petites victoires, nous y laissons des pl .. Poils et la boite à rêves toujours fermées.
Le secret ? La triade !
Il faut sortir du système pour VOIR le système !
Je l’ai évidemment évoqué mais là, il prend un sens pratique dans nos blocages, tous nos blocages humains : passer de l’alternative duelle, siège de nos dilemmes à la seule manière de choisir SANS se frapper dessus et suer des gouttes gargantuesques… la 3ème voie/voix
A chaque étape où le dilemme se présente, tu dois en sortir ! Vite, vite …
La rapidité d’un quelconque résultat ne sera pas là où on l’attend, c’est-à-dire dans un « résultat immédiat parfait » avec une visualisation d’un changement tangible et clair; c’est là le plus grand piège où chaque « impatient » ne manquera pas de tomber, moi la première. Si tu tentes de trouver la solution alors que tu es encore dans ton dilemme, tu risques ou de fuir ou de te bloquer toi-même en remettant en cause ta « solution », des fois même avant d’amorcer le premier pas.
Je l’ai fait suffisamment de fois (oui têtue, et alors ??) que pour le savoir en ce jour. Cet échappatoire rapide est un leurre.
Tu as colmaté sans être conscient que ce qui t’a amené au dilemme est en fait, un état antérieur, à celui-ci. Une expérience maintes fois faites, avec toujours la même réponse de ta part.
Cette impression de vivre « un jour sans fin ».
Nos dilemmes arrivent SUITE à une mésentente ou une surdité entre des forces vives en nous.
Ils sont la partie visibles de l’Iceberg et c’est bien cela qu’illustre merveilleusement cette citation d’Einstein :
Nous ne pouvons régler le dilemme en nous attaquant au dilemme ! Parce que nous sommes dedans. Nous faisons partie du jeu en train de se dérouler… Nous ne pouvons régler autrement quelque chose que nous ne voyons pas, parce que c’est nous qui créons la situation dans laquelle nous sommes à chaque instant.
Comment faire du coup ?
La réponse est dans le constat décrit : nous ne pouvons modifier quoi que ce soit si nous sommes dans l’incapacité de VOIR ce qui se passe et ce qui se joue. Nous sommes comme Jack Nicholson dans le labyrinthe enneigé (Shining), nous avançons sans avoir une vue d’ensemble. Tout se ressemble et nous ne pouvons trouver la sortie qu’en avançant « à l’aveugle ».
Il ne nous reste plus qu’à utiliser, avec notre cerveau surchauffé, le coup du prestigidi… perstidigidi.. Magicien quoi !
Tadaaaaaaaaa !!
Le coup du magicien ??
Oui, que fait le magicien pour te berner en sortant un éléphant de sa manche droite ??
Il t’a attiré l’attention avec la gauche ! That’it baby (pour varier de mon « that’s all folk)
Toi qui penses probablement, si tu me lis, que c’est IMPOSSIBLE de sortir de ton problème actuellement, alors que tu as TOUT fait, avec acharnement, pour « modifier » ce qu’il est en train inexorablement de t’arriver. Tu vois le mur et tu t’en rapproches de plus en plus vite. Tu t’en es pris d’autres, tellement d’autres, tu as l’habitude non ?
Et pourtant, c’est toujours aussi douloureux et l’espoir s’amenuise de pouvoir enfin trouver la bifurcation juste avant de t’emplafonner dedans, tête la première. Parce que non, on ne s’habitue pas, jamais, à se prendre des murs…
Il nous faut comprendre que la magie n’existe pas et/ou, pour les plus rêveurs d’entre nous, comprendre que si elle existe, toi aussi tu y as accès ! Sortir de la victimite aigüe et se retrousser les manches. Non pour partir comme TAZ, bille en tête, dans n’importe quelle direction mais s’asseoir et DECIDER de tester le monde tel que tu le vis à l’Instant, différemment !
Alors, as-tu envie de jouer ? Veux-tu devenir magicien ?
Pourquoi jouer ?
Parce que si tu lis, si tu te dis « hmmm oui c’est juste, ça résonne en moi, je suis en accord avec cela, c’est logique même » et que tu oublies (ce qui va arriver) dans 10 minutes ce que tu as lu
Ou
Que tu te dises « chic, yes, c’est tout à fait ça » et que tu te plonges alors dans la quête d’en savoir plus en partant sur « devenir magicien » sur google… ou « comment modifier son comportement » jusqu’à te perdre sous une tonne d’informations addictogènes en quelques heures
Tu n’auras toujours pas bougé d’un iotat !
Tu te diras alors : « ce n’est pas pour moi » ou « ça ne marche pas » ou encore tu ne te diras rien du tout et retourneras à ton activité habituelle : « l’anticipation du prochain mur ».
Comment joue-t-on à ton jeu ?
Les prérogatives :
Au départ, il va falloir s’accorder que la compréhension de ce que tu vas tester ne viendra qu’après, que peu à peu, avec l’entrainement.
- Que nous ne cherchons aucun résultats autre que ceux qui sont énoncés.
- Que de tester une heure, un jour, un mois est un mauvais calcul; c’est un TAF à VIE mais qu’il faut bien commencer quelque part (oui, cela soulève un autre stress zébrique : le « par où je commence ? »)
- Que tu seras tenté-e d’abandonner très souvent et que ça fait partie du jeu
- Que tu vas devoir faire preuve de pugnacité et d’acharnement .. Et surtout d’indulgence face à tes débuts. Oui, TU es un débutant !
- Qu’il va falloir éviter le PIEGE numéro 1, le plus vicieux : celui d’écouter la voix qui te diras « rooo, mais ça, je l’ai déjà tenté » et qui va raccrocher ton expérimentation au wagon du « déjà connu » et retourner en direction du mur.
- Et donc, que toute tentative de « théoriser » ce que tu testes ne sert à rien, à part te rassurer 😉
T’es ok ?
Ton objectif
Passer de « débutant-e » à « dilettant-e« , de celui qui démarre en acceptant de ne plus rien savoir et de découvrir à celui qui se pique au jeu et le transforme en excitation/passion/passe-temps/jeu/challenge/défi
C’est parti pour les bases : je t’en donne 2 aujourd’hui.
BASE 1 : « On ne change pas ce dont nous n’avons pas conscience »
Tu vas commencer par apprendre à t’observer… autrement.
A passer de ta réflexion à la sensation et inversément.
A repérer lorsque tu es dans tes pensées (réflexion) ou dans l‘instant (sensation).
Ce repérage représente la fondation du reste.
Tant que tu ne joues pas et affines cela, tu sera en pilote automatique ou y retournera sans même t’en rendre compte.
Tout ce qui t’arrive en trombe, de tu ne sais où, sans liens parfois en apparence avec le moment que tu traverses sont un de 2 repères : c’est ce que j’ai nommé la « sensation » ou « l’idée » parce qu’elle peut évidemment être « intelligible ».
Tout ce qui est en lien avec la situation et qui se construit, discute, parlemente, fait des hypothèses, de conclusions, des projets de a à b ou à z en général est l’autre repère : la « réflexion ».
Exemple concret : je suis allongée dans mon lit, au réveil. Je m’étire et visualise ma journée. Je trouve mentalement mon planning et fait le point : réflexion.
Je reste encore un peu et mon regard se pose sur l’arbre devant ma baie-vitrée. Cet arbre me cache la lumière, peut-être serait-il bien de le couper … idée.
On affine : j’imagine couper l’arbre et mon mari arrive en image mentale. IL va couper l’arbre, non … l’élaguer plutôt ! Avons-nous le matériel pour cela… quand pourrait-il le faire? Comment vais-je l’amener à saisir, sans râler, qu’il serait bien (voire urgent) de couper cette saloperie de feuilles qui me gâchent la vue …
L’idée s’est transformée en « réflexion » !!
L’objectif est de commencer, petit (toujours et ouais). Quelques fois par jour, puis un peu plus jusqu’à ce que cela devienne un réflexe. Le démarrer par un questionnement (ça, tu devrais en avoir l’habitude) puis en faire un jeu.
Il n’y a rien d’autre à faire dans cette étape. Surtout pas tenter de modifier, de régler ou de tenter de bouger les codes. Il s’agit vraiment de « prendre conscience », en observateur, de ce qui se passe d’habitude sans toi.
Crois-moi, c’est un vrai travail.
Pigé le truc ? (si non, écris-le moi dans les commentaires)
BASE II : on se calibre sur ce qui se passe sous le capot
Tu vas jauger ton carburant indicateur de ton état : ton ENERGIE!!
C’est ta meilleure amie, fidèle, honnête, qui te colle à la peau et surtout à l’intérieur, qui ne te MENTIRA JAMAIS !!
Comment fait-on cela ? : en te posant la question tiens, pardi. « Comment je me sens ? »
Pas tout le temps, pas avant, pas après juste là, maintenant et que maintenant
« Comment je me sens? ».
On coupe les auxiliaires et on plonge dans un ressenti simple, ample ou petit, en mouvement.
Réponses possibles : … Bien, Dans l’envie de chanter, de pleurer, de dormir, de rire, de joie…
,fatigué, angoissé, en stress, en confusion, avec des nuages noirs, clairs, en forme …
Tu peux agrémenter/colorer/choisir ton ENERGIMETRE par ce qui te vient, ce qui te parle, ce qui fait sens pour toi.
Ma fille aînée parle de couleurs : « je me sens plutôt bleu, rouge, verte, rose … « , pour d’autres, ce sera en sons, en adjectifs, en animaux ..
On s’en fout, le principe et le principal est ce qui apparaît pour toi et qui résonne (non intellectuel).
L’important est donc de porter ton attention sur tes sensations, de les repérer (les rendre intelligibles ou conscientes) et de les noter comme une BALISE. Pas forcément par écrit mais en y accordant quelques secondes avec attention et intention d’en faire le tour. Suffisamment longtemps pour qu’elles s’impriment dans ta mémoire affective/sensorielle. Cela s’affinera, se modifiera, se nuancera dans le temps. Ca fait partie du JEU.
Pour affiner et illustrer.
Ecoute ça – Fais silence, tais-toi (intérieurement) et ressens …..
Ça …..
Las cosas más simples pueden traer la mayor felicidad 💖
Gepostet von Baile Latino am Sonntag, 22. September 2019
Qu’as-tu ressenti ??? … Comment était ton énergie ?
Allez, on poursuit par autre chose : (pas pas pu l’intégrer sur la page 🙄 )
https://www.facebook.com/watch/?v=10154258623434216
ça fout les poils non ???
Et un dernier rapide… Mettre le son à fond 🙂
Gepostet von Dorian Ramirez am Freitag, 1. November 2019
Là, tu peux déjà étalonner 3 sensations différentes, bien plus, mais une impression générale et/ou une couleur à chaque fin d’écoute… pendant l’écoute et pendant le silence qui suit. Cela te permet de saisir que tu n’es pas dans la même énergie en quelques minutes à peine. C’est de cela dont je parle. Il n’est pas question d’être d’accord ou pas, juste de se rendre concrètement compte en vivant l’expérience que c’est puissant, présent TOUT le temps mais qu’on y prend garde généralement, brouillé par un mental trop présent.
Le plus épatant est la rapidité avec laquelle nous pouvons bouger d’une énergie à l’autre en 1 claquement de doigt.
C’est cela et rien d’autre qui nous permet de « débrancher » le mental et de toucher notre boussole intérieure.
Voilà … pour commencer.
Ne te fie pas à l’apparente simplicité si tu es, comme moi, un-e acharné-e de la comprenette obsessionnelle qui étudie/ réfléchit plus vite que ton ombre, et ne te fie pas à l’apparente complexité si tu as eu comme seul-e défense de te couper de tes ressentis.
C’est une (ré)-éducation dont le seul-e maître à bord est .. TOI !
Tu ne peux chercher à avoir confiance par l’extérieur de toi-même, ou par une quelconque « volonté ». Cela ne se travaille pas comme ça. Tu peux par contre éveiller tes sens, ressentis car c’est eux qui vont te mener sur la bonne route !!
Le rapport avec le magicien ?
Comme la main gauche du magicien trompe notre cerveau, nous ne voyons rien ! C’est ce qu’il se passe pour nous lorsqu’on se sent « coincé » à un endroit où nous ne trouvons aucune sortie. Nous ne comprenons pas pourquoi et nous acharnons, sans le savoir, dans la même direction, vers le mur. Notre cerveau nous y amène, brouillant les alertes de notre vrai radar à qui nous n’accordons aucun crédit ou que l’on n’arrive pas à décrypter. Ce radar n’est nullement dans notre tête, mais bien dans notre corps, qui fonctionne très bien SANS nous. C’est lui qui sait et qui dirige. Dois-tu réfléchir à ta respiration, aux battements de ton coeur, à ta digestion ? Nous sommes devenus sourds à son langage, trop concentré par ce qui nous a été « appris ».
L’unique manière de remettre notre machine à l’endroit est de remettre les choses naturelle à l’endroit. C’est un apprentissage aussi, qui commence par une volonté, des découvertes et de la progression.
C’est un début, des bases.
Posologie : commencer, tester, râler un peu (c’est bon pour la santé), re-commencer, affiner. Raccourcir, augmenter la dose. Y penser surtout.
Tu peux décider de tester en trouvant des musiques spéciales qui te mettent dans une énergie spéciale en quelques secondes et commencer ainsi à « jouer » avec tes « humeurs » de manière volontaires.
A quoi cela va-t-il servir au final ?
Réclame ton cerveau suspicieux et inquiet des « pertes de temps » ?
A emprunter, si le cœur t’y a amené, encouragé par une « idée » que l’on peut qualifier d’intuition, à lire cet article « par hasard » comme nous le pensons tous en début de parcours.
Je te dirais que cela ne dépendra certainement pas de moi.. Ni d’un autre en tout cas.
Je témoigne ici de ce que JE VIS, ai traversé et traverse encore chaque jour depuis que j’ai percuté la puissance de feu que je logeais, lovais au creux de mon « être en devenir ».
Cet article a-t-il été réfléchi pendant des heures ?
NON. C’est ce que je faisais avant, au début de mon cheminement.
Je viens de jouer à mettre la main dans mon chapeau, sans savoir ce qui allait en sortir.
Je me suis débranchée de mes « connaissances, sciences, et peurs » pour entrer au creux de mon espace interne de jeu et y ai pioché ce qui venait, en construisant, à partir d’une idée et d’une envie, ce qui devait se construire comme un gros légo.
Je viens d’illustrer ce que je te propose en le faisant et je m’en suis rendue compte à l’instant même où je couche ces mots sur mon clavier. La sacro-sainte liberté que nous cherchons tous avidement est déjà là, en toi, en chacun de nous; ainsi que notre libre arbitre :
j’y vais ou pas ?!
Aucune autre conséquence vitale que celle de poser un choix et de se lancer. Le reste se construit au fur et à mesure et de jolies connexions avec soi se font en marchant (écrivant pour ma part). Et l’énergie, comme par magie, se fait ressentir, reprend ses droits, t’indique de plus en plus clairement (puisque tu es à son écoute) ou tu te situes et ce que tu dois faire…
Je t’offre ce que j’aimerais recevoir. Se faisant, je me fais le plus joli cadeau qu’il soit !
Si ça te parle ou pas, ne reste pas seul-e, partage nous ce qui se passe pour toi.
Amuse-toi et honore ce qui fait partie de tes potentiels en dormance : TOI , « être Hautement sensible »
Je te laisse sur la sensation naissante en mettant ce point final (pour aujourd’hui) à mes mots en cet instant :
« j’ai de belles choses à être » !
« Faire ce que tu aimes, c’est la liberté
Aimer ce que tu fais, c’est le bonheur ! »
J’ajoute à cette dernière citation, pour savoir ce que tu AIMES …. Ressens, tais-toi, expérimente et ressens !
Merci Laura pour tes témoignages qui m’accompagnent et éclairent mon chemin.
Je me suis mis en route, il y a quelques mois, avec un objectif : partir à la découverte de ce moi qui commençait à ne plus tourner rond.
Les rencontres et les choix ne sont pas faits par hasard. Et ce n’est pas par hasard si chacune de tes publications vient renforcer les différentes étapes d’un atelier sur la confiance que l’on m’a proposé de suivre – atelier qui m’aide à détricoter mes fausses croyances, atelier qui me fait tant de bien. A chaque étape (séance), je dépose une pierre qui vient jalonner mon parcours et surtout allège ma besace.
En première lecture de ce sujet sur la transition, j’étais un peu dans l’incompréhension; « réflexion « , « sensation », qu’est-ce que je dois comprendre? Puis j’ai compris. Bingo! la sensation, c’est ce que je cherche aujourd’hui, la belle vibration : apaiser la petite voix qui m’a si longtemps trompée – se nourrissant de mes peurs et distillant des fausses croyances – et plutôt m’ouvrir au monde, à l’émotion – à la vie, quoi!
Et puis c’est aussi accepter que je suis différent 😉
Bien sûr, j’y arrive par petites touches et souvent je n’y arrive pas complètement (fichue petite voix!).
Aujourd’hui, j’ai envie de jouer à nouveau, comme quand j’étais enfant. Pourquoi devrais-je m’obliger à être sérieux, carré, droit et enfiler ce « costume » dans lequel je me sens étriqué ? Je me sens comme un Peter Banning revenu au Pays Imaginaire (clin d’oeil au film Hook que j’ai revu récemment). Vibrations profondes lorsque Peter s’installe à la table des enfants perdus et voit enfin toute cette nourriture, mais aujourd’hui ma vibration est plutôt « joie » et beaucoup moins « tristesse » à le voir redevenir Pan!!
Alors plutôt que réfléchir et tourner en boucle, je cherche le jeu et je m’autorise à passer à l’action.
Au plaisir de te lire à nouveau
« Aujourd’hui, j’ai envie de jouer à nouveau, comme quand j’étais enfant. Pourquoi devrais-je m’obliger à être sérieux, carré, droit et enfiler ce « costume » dans lequel je me sens étriqué ? »
Yessssss et je t’envoie une pleine louche de peinture en pleine face ! BANGERAAAAAAAANGGGGGG !
Merci Laura pour tes témoignages qui m’accompagnent et éclairent mon chemin.
Je me suis mis en route, il y a quelques mois, avec un objectif : partir à la découverte de ce moi qui commençait à ne plus tourner rond.
Les rencontres et les choix ne sont pas faits par hasard. Et ce n’est pas par hasard si chacune de tes publications vient renforcer les différentes étapes d’un atelier sur la confiance que l’on m’a proposé de suivre – atelier qui m’aide à détricoter mes fausses croyances, atelier qui me fait tant de bien. A chaque étape (séance), je dépose une pierre qui vient jalonner mon parcours et surtout allège ma besace.
En première lecture de ce sujet sur la transition, j’étais un peu dans l’incompréhension; « réflexion « , « sensation », qu’est-ce que je dois comprendre? Puis j’ai compris. Bingo! la sensation, c’est ce que je cherche aujourd’hui, la belle vibration : apaiser la petite voix qui m’a si longtemps trompée – se nourrissant de mes peurs et distillant des fausses croyances – et plutôt m’ouvrir au monde, à l’émotion – à la vie, quoi!
Et puis c’est aussi accepter que je suis différent 😉
Bien sûr, j’y arrive par petites touches et souvent je n’y arrive pas complètement (fichue petite voix!).
Aujourd’hui, j’ai envie de jouer à nouveau, comme quand j’étais enfant. Pourquoi devrais-je m’obliger à être sérieux, carré, droit et enfiler ce « costume » dans lequel je me sens étriqué ? Je me sens comme un Peter Banning revenu au Pays Imaginaire (clin d’oeil au film Hook que j’ai revu récemment). Vibrations profondes lorsque Peter s’installe à la table des enfants perdus et voit enfin toute cette nourriture, mais aujourd’hui ma vibration est plutôt « joie » et beaucoup moins « tristesse » à le voir redevenir Pan!!
Alors plutôt que réfléchir et tourner en boucle, je cherche le jeu et je m’autorise à passer à l’action.
Au plaisir de te lire à nouveau
Merci Lara pour cet article rempli de pertinence et de fraîcheur, troublant de résonance avec mes sujets du moment 😉
« Ressens » c’est un vrai défi pour moi aussi ; le gars qui s’est coupé de ses ressentis. Mais ils reviennent petit à petit.
Voici mon partage pour la « Base I », je me suis lancé le jeu suivant : utiliser une « convention », un calque en surimpression de scène vécue de chaque moment. C’est une visualisation d’un encadré plutôt bleu froid pour le mode « réflexion », et un encadré rouge chaud pour le mode « sensation ». Ça fonctionne par moments. Mais ce « jeu » a encore une odeur de sérieux, je cherche des idées pour le rendre plus ludique, y apporter un ingrédient de plaisir. Le top serait un largage d’endorphine quand ça fonctionne… 🙂
Un bonus : quand je suis dans le ressenti, je suis dans le moment présent et présent à moi-même, je respire, YES !
A propos de la « Base II », je m’étais déjà rendu compte que j’utilisais de la musique pour « vivre » mes émotions, mon téléphone portable me servant de « trousse de premiers secours ». Le type de musique que j’avais envie d’écouter permettait de reconnaître indirectement l’émotion en cours (ya du boulot, hein!).
Bon c’est pas dans la Base II, mais j’ai pris conscience que je pouvais aussi retourner le processus (même si je le faisais instinctivement par moments) : c’est à dire choisir d’écouter un certain morceau (ou type de musique) pour *induire* une énergie particulière !
Pour revenir à l’énergimètre, parfois le mental sert tellement le kiki que tout ce qui remonte c’est une étiquette, par exemple « tristesse/pleur » plutôt que de ressentir dans le corps une envie de pleurer (qui ferait tellement de bien). Je me rassure en constatant que par d’autres moments je n’ai jamais autant pleuré ces derniers temps.
Pour bien rentrer dans le jeu, j’aimerais bien un coup de feedback corporel à chaque sensation/BALISE repérée.. si ça se trouve c’est déjà le cas..
PS : 👍 à la Biodanza qui m’aide bien à renouer avec mes ressentis.
Pour le côté ‘fun » aux tableaux de couleur, il s’agit de le créer, comme le reste. Chercher et repérer quand l’endorphine fonctionne (en-dehors du 1er exercice) exemple : pendant un moment de biodenza. Au moment où l’endorphine est lancée. Oublier les circonstances pour porter son attention sur la seule sensation en en faisant le tour. C’est la balise 😉
Ensuite, quand les cadres arrivent, se dire que tu es vachement fier d’avoir été cap de les ressentir, fier de toi. (pour commencer)
Refaire ensuite en te demandant ce que cette fierté te fait ressentir …
Puis y accoler peu à peu de la joie à cette fierté et rejoindre la scène de la biodenza pour que les 2 s’associent.
En faire un jeu. Redevenir un enfant.
La base II dit cela … enfin, la suite en effet : le retournement ! (le fameux « chemin à l’envers)
Tu as tout dit : « même si je le faisais instinctivement ».
Ce que je propose justement c’est que cela devienne CONSCIENT et volontaire… un CHOIX.
Ressentir ok
Porter son attention (volontaire)
Réitérer pour créer sa bibliothèque de ressentis (porter son attention)
Inverser le processus pour tester et affiner
La répétition = implémentation.
Objectif final : la musique qui nous a éveillé la sensation-l’état devient le starter pour nous y remettre (elle a permis d’identifier)
Elle devient l’élément déclencheur et pourra induire un « état d’être ».
That’s it 😉
L’énergimètre, pareil, n’est pas à gérer ni contrôler. Il est le baromètre de son état interne.
Juste là pour se rendre compte, alors que le mental nous entraîne vers une série de « pourquoi » sans issue, où l’on en est à l’instant T
Et, si cet état n’est pas top pour nous, décider de modifier la boucle en repartant pour un tour : musique maestro !!
Merci Stéphane 😉
Tu viens d’affiner ma traduction de ce que nous avons traversé ensemble 😉 YESSSSS
Tombe a pic pour moi aussi. J´etais sur le chemin et je me suis perdue. Je n´ai plus ecouté assez ce que je ressentais ou je ne voulais pas entendre (la volonté d´etre comme tout le monde et de ne pas souffrir). Bref, je reprends les exercices 😉 Merci
Mbou… 😉 C’est le jeu ma chère amie. Hâte de nos nouvelles rencontres.
On va affiner cela ma douce !
Merci !
Oui, oui, difficulté à faire des choix. Effectivement, je suis embourbé « dedans » et aussi assujetti à la tendance quitte ou double.
D’accord ! Je vais jouer à ce jeu ! Effectivement – encore – le pouvoir de la mesure me parle bien ces temps. Oui, c’est synchro. Je vais prendre la mesure de mes humeurs. La promesse romantico-fructueuse d’une collaboration coeur-cerveau.
Yes, un mariage HAUT en couleurs mon ami !
Tu verras, dis oui, passe lui la bague au doigt et tu seras étonné !! 😉
Des bises !
Je suis souvent dans le mur , et pas plus tard que hier…🧐
Reculer du mur et le regarder autrement …
Bon courage
Bonjour Lara ! Ton article tombe à pique 😉 J’ai justement la tête qui explose et la sensation d’être perdue au milieu de ma vie. Te lire me redonne un peu d’espoir. Merciii à toi. Belle journée !
Merci Christelle. Ecoute toi plus attentivement, encore et encore, sans te juger.
Sans ressentis difficiles ou obstacles, on ne peut avancer.
Courage.
Exactement ce que j’avais besoin d’entendre en ce moment…
Merci Lara
😉😘
Avec plaisir Pierre 😉
Hello Lara,
Cela me parle tout à fait, c’est d’ailleurs proche du sujet de mon article de la semaine dernière, on est sur la même longueur d’onde !! Redescendre dans son corps justement et calmer son mental : https://uneetincelle.fr/le-corps-puissant-vecteur-de-ton-changement/
N’hésite pas à aller partager le lien du tiens dans les commentaires, je les trouve super complémentaires 🙂 J’aime beaucoup la manière dont tu amènes les choses et où tu nous plonges directement dans le ressenti, et oui vraiment c’est notre guide intérieur, il est vraiment nécessaire de nous y reconnecter.
Des bises et à bientôt !
Haha oui, en effet !!! Nous sommes synchro (hasard ??) 😉 Te souhaite un an 20 magique ma douce amie.
(Et oui, on se fixe notre rdv très vite pour ressentir ensemble !)
Toujours aussi percutant, et même de plus en plus! J’aime beaucoup l’énergimètre, je l’adopte 😉 Merci Lara
Coucou Monique, merci pour tes mots !!
J’espère que ton année démarre bien ?
Des bises
Chuttt ! Lara, savoure….
Toujours sur le bon chemin depuis la dernière fois, j’extrapole le thème : d’abord, ma musique à peps en faisant ce que j’aime pour mon moment à moi rien qu’à moi ; puis cette musique pour faire autre chose…j’emprunte les bonnes sensations d’un côté pour les ressentir ailleurs, abracadabra !
Bon, pour les impôts, c’est pas encore ça 🤣
Yesss, une fois le « juste » chemin emprunté, il nous guide tout seul, si l’on reste bien attentive à ce que le coeur nous raconte !
Des bises Gabrielle !!
Merci Laura! Pour voir le système, il faut sortir du système. Ca me parle.
Merci 😉