Passer du passé au futur

Ouvrir l’angle de vision pour agrandir l’espace entre les molécules trop serrées qui nous entraîne vers l’IMMOBILISME délétère.

Le piège est tendu. Nous sommes sur un fil; des équilibristes qui ont, à chaque pas, le devoir de regarder devant pour ne pas chuter. Tout en surveillant et à gauche et à droite.

 

La concentration est extrême,

le danger ressenti,

la vie coule en nos veines

le monde tourne au ralenti.

 

Cette année ’20 sera une année de transition. Je le sens, je le désire aussi et tout me pousse de l’intérieur, comme les rouages d’une montre, à trouver mon rythme et à laisser partir quelques vestiges qui entravent et alourdissent encore mon pas.

Voilà la sensation qui me réveilla le jour de l’an neuf (enfin l’an 20 …)

Tout ce chemin parcouru …

Je me suis donc arrêtée, j’ai arrêté le temps pour poser mon regard sur l’ensemble du mouvement.

Comme sur toutes ces personnes qui me faisaient rêver, râler parfois souvent tant elles me rappelaient que moi, je n’osais pas. Je comprends en ce jour, en faisant un arrêt sur images, que OUI, je suis en train de le faire aussi ! La machine est lancée, le voyage bien entamé.

Je rebondis sur l’article précédent à propos du « changement », et appuie sur un détail tellement important :

 

si tu n’observes pas les détails », tu passes à côté de l’essentiel !

 

Est-ce grave ou définitif ?

NON mais tous tes « efforts » risquent d’être vécu comme vains alors que tu es déjà dans ta solution. Juste, tu ne la vois pas, tu ne lui donnes aucun crédit, trop aveuglé-e par ton impatience et le poids de tes « échecs » passés.

C’est par là que ça commence, par là que TOUT commence … Va falloir se désaper, voir, déposer et choisir.

Je réponds à LA question que je me suis posée au démarrage de mon voyage en terrain connu en 2016 et que je traduis comme LA question que déposent TOUS les zèbres dans ce même mouvement de « Rêv-olution » entamée lorsqu’ils poussent la porte de mon « cabinet » (non, décidément, va falloir que je me penche sur ce terme 🙂 )

 

Doit-on connaître/embrasser/visualiser la fin de l’histoire pour démarrer ?

 

Et j’y réponds en ce jour, après ces 3 années de périples entamées ..

ACHTUNG ! NON !! Surtout pas !!!! Pas comme ça, pas comme nous avons l’HABITUDE de le faire.

Wooooooooooooooo, je touche du doigt notre plus grande faille, s’il en est, d’EHS – Etres Hautement Sensibles (zèbres) : Notre BESOIN viscéral d’ABSOLU !

Tu sais, notre « tout ou rien », notre absence de « bouton stop », notre incapacité de « débranchement » ..

Cette caractéristique particulière qui a comme conséquence négative de nous entraîner un handicap majeur :

Le « dumalachoiz »

 

Pourquoi avons-nous tant de mal à choisir ???

Liste non exhaustive de « parce que » :

  • Parce que nous investissons TOUT à chaque respiration.
  • Parce que nous ne pouvons faire, ni semblant, ni les choses à moitié
  • Parce que nous sommes sans filtres, sans recul, sans « zone de confort » telle qu’elle est communément définie et acceptée comme un lieu que tous auraient chez eux … Un implicite, un lieu commun, une évidence.
  • Parce que, au fil des expériences incomprises, nous finissons par nous mettre « à part », à côté du monde, acceptant que si la « majorité » nous est étrangère, nous n’avons plus qu’à nous écraser en digérant nos « torts ».
  • Nous acceptons d’abandonner, de nous abandonner …

Parce que, et c’est là que je te propose le saut quantique pour toucher ce qui m’a permis d’OSER exprimer de plus en plus librement, en lâchant les filets, ce qui se jouait dans mon âme d’aventurière : nous restons dans LE JEU défini du « si j’ai raison, tu as tort » et inversément. Parce que ce n’est pas avec ou contre l’Autre que nous jouons, mais avec ou contre NOUS.

En restant dans le système de pensées majoritaire, « pour ou contre », nous sommes toujours dans la matrice. Nous continuons à jouer au même jeu alors que nous en voyons l’absurdité, l’incohérence, l’absurdité (ab-surdité ?) mais, en ayant à cœur de « nous faire comprendre » pour garder le lien et donc, peu à peu ou de convaincre ou de s’écraser…. Seul-e au monde !

Les choix possibles : rebelle ou mouton. C’est un peu dommage non ???

 

Comment veux-tu choisir l’une de ces 2 alternatives ?

Si tu en choisis une, tu seras forcément dans l’opposition .. de l’autre, contre l’autre et donc, en « porte-à-faux », sous tension, en stress, jamais en paix, aux aguets ! Oui, puisque « l’Autre », tu ne peux t’en passer, jamais, sans y laisser ce pour quoi tu es là et qui donne su sens à la vie : ton HUMANITE !

D’autant plus que l’énergie utilisée dans ce combat solitaire et vain ne nous est ni saine ni efficace. Au bout du compte, même si petites victoires, nous y laissons des pl .. Poils et la boite à rêves toujours fermées.

 

Le secret ? La triade !

 

Il faut sortir du système pour VOIR le système !

 

Je l’ai évidemment évoqué mais là, il prend un sens pratique dans nos blocages, tous nos blocages humains : passer de l’alternative duelle, siège de nos dilemmes à la seule manière de choisir SANS se frapper dessus et suer des gouttes gargantuesques… la 3ème voie/voix

A chaque étape où le dilemme se présente, tu dois en sortir ! Vite, vite …

La rapidité d’un quelconque résultat ne sera pas là où on l’attend, c’est-à-dire dans un « résultat immédiat parfait » avec une visualisation d’un changement tangible et clair; c’est là le plus grand piège où chaque « impatient » ne manquera pas de tomber, moi la première. Si tu tentes de trouver la solution alors que tu es encore dans ton dilemme, tu risques ou de fuir ou de te bloquer toi-même en remettant en cause ta « solution », des fois même avant d’amorcer le premier pas.

Je l’ai fait suffisamment de fois (oui têtue, et alors ??) que pour le savoir en ce jour. Cet échappatoire rapide est un leurre.

Tu as colmaté sans être conscient que ce qui t’a amené au dilemme est en fait, un état antérieur, à celui-ci. Une expérience maintes fois faites, avec toujours la même réponse de ta part.

Cette impression de vivre « un jour sans fin ».

 

Nos dilemmes arrivent SUITE à une mésentente ou une surdité entre des forces vives en nous.

Ils sont la partie visibles de l’Iceberg et c’est bien cela qu’illustre merveilleusement cette citation d’Einstein :

 

Nous ne pouvons régler le dilemme en nous attaquant au dilemme ! Parce que nous sommes dedans. Nous faisons partie du jeu en train de se dérouler… Nous ne pouvons régler autrement quelque chose que nous ne voyons pas, parce que c’est nous qui créons la situation dans laquelle nous sommes à chaque instant.

 

Comment faire du coup ?

La réponse est dans le constat décrit : nous ne pouvons modifier quoi que ce soit si nous sommes dans l’incapacité de VOIR ce qui se passe et ce qui se joue. Nous sommes comme Jack Nicholson dans le labyrinthe enneigé (Shining), nous avançons sans avoir une vue d’ensemble. Tout se ressemble et nous ne pouvons trouver la sortie qu’en avançant « à l’aveugle ».

Il ne nous reste plus qu’à utiliser, avec notre cerveau surchauffé, le coup du prestigidi… perstidigidi.. Magicien quoi !

Tadaaaaaaaaa !!

 

Le coup du magicien ??

Oui, que fait le magicien pour te berner en sortant un éléphant de sa manche droite ??

Il t’a attiré l’attention avec la gauche ! That’it baby (pour varier de mon « that’s all folk)

Toi qui penses probablement, si tu me lis, que c’est IMPOSSIBLE de sortir de ton problème actuellement, alors que tu as TOUT fait, avec acharnement, pour « modifier » ce qu’il est en train inexorablement de t’arriver. Tu vois le mur et tu t’en rapproches de plus en plus vite. Tu t’en es pris d’autres, tellement d’autres, tu as l’habitude non ?

Et pourtant, c’est toujours aussi douloureux et l’espoir s’amenuise de pouvoir enfin trouver la bifurcation juste avant de t’emplafonner dedans, tête la première. Parce que non, on ne s’habitue pas, jamais, à se prendre des murs…

Il nous faut comprendre que la magie n’existe pas et/ou, pour les plus rêveurs d’entre nous, comprendre que si elle existe, toi aussi tu y as accès ! Sortir de la victimite aigüe et se retrousser les manches. Non pour partir comme TAZ, bille en tête, dans n’importe quelle direction mais s’asseoir et DECIDER de tester le monde tel que tu le vis à l’Instant, différemment !

 

Alors, as-tu envie de jouer ? Veux-tu devenir magicien ?

 

Pourquoi jouer ?

Parce que si tu lis, si tu te dis « hmmm oui c’est juste, ça résonne en moi, je suis en accord avec cela, c’est logique même » et que tu oublies (ce qui va arriver) dans 10 minutes ce que tu as lu

Ou

Que tu te dises « chic, yes, c’est tout à fait ça » et que tu te plonges alors dans la quête d’en savoir plus en partant sur « devenir magicien » sur google… ou « comment modifier son comportement » jusqu’à te perdre sous une tonne d’informations addictogènes en quelques heures

Tu n’auras toujours pas bougé d’un iotat !

Tu te diras alors : « ce n’est pas pour moi » ou « ça ne marche pas » ou encore tu ne te diras rien du tout et retourneras à ton activité habituelle : « l’anticipation du prochain mur ».

 

Comment joue-t-on à ton jeu ?

Les prérogatives :

Au départ, il va falloir s’accorder que la compréhension de ce que tu vas tester ne viendra qu’après, que peu à peu, avec l’entrainement.

  • Que nous ne cherchons aucun résultats autre que ceux qui sont énoncés.
  • Que de tester une heure, un jour, un mois est un mauvais calcul; c’est un TAF à VIE mais qu’il faut bien commencer quelque part (oui, cela soulève un autre stress zébrique : le « par où je commence ? »)
  • Que tu seras tenté-e d’abandonner très souvent et que ça fait partie du jeu
  • Que tu vas devoir faire preuve de pugnacité et d’acharnement .. Et surtout d’indulgence face à tes débuts. Oui, TU es un débutant !
  • Qu’il va falloir éviter le PIEGE numéro 1, le plus vicieux : celui d’écouter la voix qui te diras « rooo, mais ça, je l’ai déjà tenté » et qui va raccrocher ton expérimentation au wagon du « déjà connu » et retourner en direction du mur.
  • Et donc, que toute tentative de « théoriser » ce que tu testes ne sert à rien, à part te rassurer 😉

 

T’es ok ?

 

Ton objectif

Passer de « débutant-e » à « dilettant-e« , de celui qui démarre en acceptant de ne plus rien savoir et de découvrir à celui qui se pique au jeu et le transforme en excitation/passion/passe-temps/jeu/challenge/défi

 

C’est parti pour les bases : je t’en donne 2 aujourd’hui.

 

BASE 1« On ne change pas ce dont nous n’avons pas conscience »

Tu vas commencer par apprendre à t’observer… autrement.

A passer de ta réflexion à la sensation et inversément.

A repérer lorsque tu es dans tes pensées (réflexion) ou dans l‘instant (sensation).

Ce repérage représente la fondation du reste.

Tant que tu ne joues pas et affines cela, tu sera en pilote automatique ou y retournera sans même t’en rendre compte.

Tout ce qui t’arrive en trombe, de tu ne sais où, sans liens parfois en apparence avec le moment que tu traverses sont un de 2 repères : c’est ce que j’ai nommé la « sensation » ou « l’idée » parce qu’elle peut évidemment être « intelligible ».

Tout ce qui est en lien avec la situation et qui se construit, discute, parlemente, fait des hypothèses, de conclusions, des projets de a à b ou à z en général est l’autre repère : la « réflexion ».

Exemple concret : je suis allongée dans mon lit, au réveil. Je m’étire et visualise ma journée. Je trouve mentalement mon planning et fait le point : réflexion.

Je reste encore un peu et mon regard se pose sur l’arbre devant ma baie-vitrée. Cet arbre me cache la lumière, peut-être serait-il bien de le couper … idée.

On affine : j’imagine couper l’arbre et mon mari arrive en image mentale. IL va couper l’arbre, non … l’élaguer plutôt ! Avons-nous le matériel pour cela… quand pourrait-il le faire? Comment vais-je l’amener à saisir, sans râler, qu’il serait bien (voire urgent) de couper cette saloperie de feuilles qui me gâchent la vue …

L’idée s’est transformée en « réflexion » !!

L’objectif est de commencer, petit (toujours et ouais). Quelques fois par jour, puis un peu plus jusqu’à ce que cela devienne un réflexe. Le démarrer par un questionnement (ça, tu devrais en avoir l’habitude) puis en faire un jeu.

Il n’y a rien d’autre à faire dans cette étape. Surtout pas tenter de modifier, de régler ou de tenter de bouger les codes. Il s’agit vraiment de « prendre conscience », en observateur, de ce qui se passe d’habitude sans toi.

Crois-moi, c’est un vrai travail.

 

Pigé le truc ? (si non, écris-le moi dans les commentaires)

 

BASE II : on se calibre sur ce qui se passe sous le capot

Tu vas jauger ton carburant indicateur de ton état : ton ENERGIE!!

C’est ta meilleure amie, fidèle, honnête, qui te colle à la peau et surtout à l’intérieur, qui ne te MENTIRA JAMAIS !!

Comment fait-on cela ? : en te posant la question tiens, pardi. « Comment je me sens ? »

Pas tout le temps, pas avant, pas après juste là, maintenant et que maintenant

 

« Comment je me sens? ».

On coupe les auxiliaires et on plonge dans un ressenti simple, ample ou petit, en mouvement.

Réponses possibles : … Bien, Dans l’envie de chanter, de pleurer, de dormir, de rire, de joie…

,fatigué, angoissé, en stress, en confusion, avec des nuages noirs, clairs, en forme …

Tu peux agrémenter/colorer/choisir ton ENERGIMETRE par ce qui te vient, ce qui te parle, ce qui fait sens pour toi.

Ma fille aînée parle de couleurs : « je me sens plutôt bleu, rouge, verte, rose … « , pour d’autres, ce sera en sons, en adjectifs, en animaux ..

On s’en fout, le principe et le principal est ce qui apparaît pour toi et qui résonne (non intellectuel).

L’important est donc de porter ton attention sur tes sensations, de les repérer (les rendre intelligibles ou conscientes) et de les noter comme une BALISE. Pas forcément par écrit mais en y accordant quelques secondes avec attention et intention d’en faire le tour. Suffisamment longtemps pour qu’elles s’impriment dans ta mémoire affective/sensorielle.  Cela s’affinera, se modifiera, se nuancera dans le temps. Ca fait partie du JEU.

Pour affiner et illustrer.

Ecoute ça – Fais silence, tais-toi (intérieurement) et ressens ….. 

Ça …..

 

Las cosas más simples pueden traer la mayor felicidad 💖

Gepostet von Baile Latino am Sonntag, 22. September 2019

 

Qu’as-tu ressenti ??? … Comment était ton énergie ?

Allez, on poursuit par autre chose : (pas pas pu l’intégrer sur la page 🙄 )

https://www.facebook.com/watch/?v=10154258623434216

ça fout les poils non ??? 

 

Et un dernier rapide… Mettre le son à fond 🙂 

 

Gepostet von Dorian Ramirez am Freitag, 1. November 2019

 

Là, tu peux déjà étalonner 3 sensations différentes, bien plus, mais une impression générale et/ou une couleur à chaque fin d’écoute… pendant l’écoute et pendant le silence qui suit. Cela te permet de saisir que tu n’es pas dans la même énergie en quelques minutes à peine. C’est de cela dont je parle. Il n’est pas question d’être d’accord ou pas, juste de se rendre concrètement compte en vivant l’expérience que c’est puissant, présent TOUT le temps mais qu’on y prend garde généralement, brouillé par un mental trop présent.

Le plus épatant est la rapidité avec laquelle nous pouvons bouger d’une énergie à l’autre en 1 claquement de doigt. 

C’est cela et rien d’autre qui nous permet de « débrancher » le mental et de toucher notre boussole intérieure.

Voilà … pour commencer.

Ne te fie pas à l’apparente simplicité si tu es, comme moi, un-e acharné-e de la comprenette obsessionnelle qui étudie/ réfléchit plus vite que ton ombre, et ne te fie pas à l’apparente complexité si tu as eu comme seul-e défense de te couper de tes ressentis.

C’est une (ré)-éducation dont le seul-e maître à bord est .. TOI !

Tu ne peux chercher à avoir confiance par l’extérieur de toi-même, ou par une quelconque « volonté ». Cela ne se travaille pas comme ça. Tu peux par contre éveiller tes sens, ressentis car c’est eux qui vont te mener sur la bonne route !!

 

Le rapport avec le magicien ?

Comme la main gauche du magicien trompe notre cerveau, nous ne voyons rien ! C’est ce qu’il se passe pour nous lorsqu’on se sent « coincé » à un endroit où nous ne trouvons aucune sortie. Nous ne comprenons pas pourquoi et nous acharnons, sans le savoir, dans la même direction, vers le mur. Notre cerveau nous y amène, brouillant les alertes de notre vrai radar à qui nous n’accordons aucun crédit ou que l’on n’arrive pas à décrypter. Ce radar n’est nullement dans notre tête, mais bien dans notre corps, qui fonctionne très bien SANS nous. C’est lui qui sait et qui dirige. Dois-tu réfléchir à ta respiration, aux battements de ton coeur, à ta digestion ? Nous sommes devenus sourds à son langage, trop concentré par ce qui nous a été « appris ».

L’unique manière de remettre notre machine à l’endroit est de remettre les choses naturelle à l’endroit. C’est un apprentissage aussi, qui commence par une volonté, des découvertes et de la progression. 

 

C’est un début, des bases.

Posologie : commencer, tester, râler un peu (c’est bon pour la santé), re-commencer, affiner. Raccourcir, augmenter la dose. Y penser surtout. 

Tu peux décider de tester en trouvant des musiques spéciales qui te mettent dans une énergie spéciale en quelques secondes et commencer ainsi à « jouer » avec tes « humeurs » de manière volontaires.

 

A quoi cela va-t-il servir au final ?

Réclame ton cerveau suspicieux et inquiet des « pertes de temps » ?

A emprunter, si le cœur t’y a amené, encouragé par une « idée » que l’on peut qualifier d’intuition, à lire cet article « par hasard » comme nous le pensons tous en début de parcours.

Je te dirais que cela ne dépendra certainement pas de moi.. Ni d’un autre en tout cas.

Je témoigne ici de ce que JE VIS, ai traversé et traverse encore chaque jour depuis que j’ai percuté la puissance de feu que je logeais, lovais au creux de mon « être en devenir ».

 

Cet article a-t-il été réfléchi pendant des heures ?

NON. C’est ce que je faisais avant, au début de mon cheminement.

Je viens de jouer à mettre la main dans mon chapeau, sans savoir ce qui allait en sortir.

Je me suis débranchée de mes « connaissances, sciences, et peurs » pour entrer au creux de mon espace interne de jeu et y ai pioché ce qui venait, en construisant, à partir d’une idée et d’une envie, ce qui devait se construire comme un gros légo.

Je viens d’illustrer ce que je te propose en le faisant et je m’en suis rendue compte à l’instant même où je couche ces mots sur mon clavier. La sacro-sainte liberté que nous cherchons tous avidement est déjà là, en toi, en chacun de nous; ainsi que notre libre arbitre :

j’y vais ou pas ?!

Aucune autre conséquence vitale que celle de poser un choix et de se lancer. Le reste se construit au fur et à mesure et de jolies connexions avec soi se font en marchant (écrivant pour ma part). Et l’énergie, comme par magie, se fait ressentir, reprend ses droits, t’indique de plus en plus clairement (puisque tu es à son écoute) ou tu te situes et ce que tu dois faire…

 

Je t’offre ce que j’aimerais recevoir. Se faisant, je me fais le plus joli cadeau qu’il soit !

 

Si ça te parle ou pas, ne reste pas seul-e, partage nous ce qui se passe pour toi.

Amuse-toi et honore ce qui fait partie de tes potentiels en dormance : TOI , « être Hautement sensible »

Je te laisse sur la sensation naissante en mettant ce point final (pour aujourd’hui) à mes mots en cet instant :

 

« j’ai de belles choses à être » !

« Faire ce que tu aimes, c’est la liberté

Aimer ce que tu fais, c’est le bonheur ! »

 

J’ajoute à cette dernière citation, pour savoir ce que tu AIMES …. Ressens, tais-toi, expérimente et ressens !