Tout vaut mieux que du « sur-place ! »

Cette impression que le temps s’est arrêté ou plutôt non, qu’il s’allonge indéfiniment mais que, toi, tu te trouves figé dedans, comme un statue de sel.

Il serait supportable si seulement « tout s’arrêtait » en même temps… mais NON, c’est là que tout se passe sans ton consentement et cette sensation m’est tellement familière que j’en ai des frissons en l’écrivant. C’est ce que je nommerais « L’ENFER ou « tempête sous crâne »

Non, ok, je ne lésine pas avec les images et mes ressentis te sont livrés cash, parce que c’est comme cela que je le vis ! Je commence vraiment et seulement à concevoir que OUI, il me manque certains « filtres » entre extérieur et intérieur et, mon cerveau n’est pas toujours mon meilleur ami.

Il se met à mouliner comme un con dès qu’un courant d’air se fait sentir alors que je n’étais pas prête !

Il devient mon ennemi lorsque mon corps m’envoie quelques signaux vitaux et que je ne suis pas « open » à ce moment là. Tout se dérègle alors et je surchauffe du carafon comme une cocotte-minute.

Attention, éloignez les enfants. Certaines scènes peuvent être violentes !

 

De l’extérieur, il ne s’était rien passé !

Ce jour-là, personne n’aurait pu dire, s’il y a avait eu des témoins, qui avait tué Melle Rose … (big up aux cluedistes) … Personne n’a rien vu, par contre, et pour mon grand malheur, TOUT le monde a senti mon changement soudain d’humeur !

Comment expliquer, qu’en plein milieu d’un repas tranquillou, alors que nous étions 4 à table et non 15 hein, je suis passée d’un grand sourire jovial à un « mais non, j’fais pas la gueule ! ». Cherchez l’erreur.

Les autres, à table, font semblant de rien… Dès fois même, j’arrive presque à me faire disparaître. Je machouille plus longtemps, je caresse le chat, je borborygme un « hum hum » vite fait, en espérant que ma sortie de table mentale ne sera pas aperçue.

En tête il se passe ceci : « trouve une image, vite vite ! Trouve un endroit sécure. Rappelle toi ton lit, ton bain, la plage, vite vite …. Sinon le loup t’attrapera !! »

Le corps se tend, les signaux sont brouillés, c’est Beyrouth à l’intérieur …. Les ordres sont contradictoires, la radio a des ratés, tous les soldats se rentrent dedans, c’est la gueeeeerrrrrrreeeee !

Je ne dirais pas qu’une goutte de sueur ose perler car c’est (mal)heureusement invisible MAIS cela se passe réellement et en direct. Il se passe une tonne de trucs que je n’ai jamais osé DIRE !!

(oui, parce que cette scène décrite comme événementielle est sinon quotidienne, tout du moins trop régulière )

… Et là, alors que le silence s’aventure quelques secondes sur le champs de bataille, l’une des convives lance un  » a y est, maman tire la tronche » ! BAM

Toutes les barricades viennent de faire shrapneliser …

Le barrage fragile se rompt, je suis prisonnière. Je ne peux ni sortir, ni entrer. Je suis devant la porte de ma maison et je n’ai pas les clés. Il neige dehors et j’ai froid.

 

Que s’est-il passé ???

Arrêt sur images ; nous passons en vidéos de surveillance. Décomposons la scène du crime 

J’avais mal dormi, entre sommeil semi-comateux et rêves semi-éveillés, en boucle.

Je me suis levée, non du pied gauche, mais en hésitant pendant de longues secondes pour détreminer quel pied devait se poser en premier lieu. Je me suis cognée dans la porte, mais l’info a été reléguée au dossier « c’est pas grave » avant d’être intégrée. Le savon est tombé dans la douche et ce bruit est venu perturber la pensée qui était en train de se construire sur la « projection de ma journée »….

Distraite, la langue un peu trop pressée, non attentive, a reculé d’un coup en touchant le café trop chaud. Une porte claque, une voix monte, trop forte.

Je m’habille rapidement, une des chaussettes fait la tronche et décide de tirebouchonner. Je pars au bureau (la pièce à côté), j’allume mon ordi et j’y trouve 2 mails : « désinscription à ma lise de diffusion »

Le tension monte d’un coup et le monde s’écroule. Le « Ca y est, c’est fichu » arrive en trombe. Pas la formule hein, la réalité ! Le scénario s’enchaîne et le cerveau ne s’arrête QUE sur la description et donc la confirmation minutieusement argumentée et validant la thèse de la fin de MON monde !

Mon château de cartes s’écroule. Le 1er domino, dit « le tueur en série », entame son meurtre parfait; il abat les autres et, de proche en proche, inéluctable, la chute se poursuit, de plus en plus vite, de plus en plus définitive. Mon regard anxieux jette un coup d’œil furtif sur la dernière pièce, mes mains se joignent l’une à l’autre et la prière du condamné se murmure… : « noooooooooooooooooooon » …. avec l’espoir qui s’amenuise comme une peau de chagrin.

Les secondes deviennent des heures, toutes les émotions se lâchent, je suis suspendue et je SAIS que rien n’arrêtera à présent la « chute ». (oui Camus, je comprends pourquoi tu m’as touchée aujourd’hui)

Je relis la newsletter envoyée la veille et tout me saute aux yeux. Pffffff, trop long, trop confus, trop privé, trop noir, trop con, trop nul, trop anxiogène. Les poumons se compriment et, avec ce qui me reste de résilience et refus de capituler, je reprends ma respiration et je replonge …. Avide de trouver une saloperie de phrase qui invaliderait la sentence !

Les larmes montent.

Après la colère, le désespoir : du « c’est nul », je glisse vers un « je suis nulle » !

Le domino plus grand se relance et poursuit son taf de bourreau, mais sur un tableau plus vaste encore.

En quelques minutes, je suis une ratée et la corde à la main, je prépare le tabouret.

Je songe à écrire une lettre d’adieu à mes proches et je réfléchis au ton le plus juste pour ne pas les faire trop souffrir, mais quand même un peu ….   Après tout, ils ne doivent pas tant m’aimer pour ne pas sentir que maman n’est pas bien, non ?

Et BIM ….. C’est reparti ….

Je visite alors successivement l’indignation, la révolte, l’injustice, le dégoût… le rejet de l’autre, des autres. La sensation familière d’abandon se rapplique. La cicatrice tiraille, me lance et je termine, en sueur mentale cette fois, épuisée, impuissante. Surgit le clignotement d’un néon sur un vieil hôtel pourri au bord d’une route déserte de road movie à l’américaine qui m’assomme un : « coupable…coupable…coupable » !

Fin de l’histoire que je pourrais titrer « un jour sans fin »

Ce sont MES ressentis. C’est comme cela que je vis depuis toujours et oui, c’est épuisant !

 

Mais, qu’est-ce qui est épuisant ??

  • Ce n’est pas de ressentir FORT. NON
  • Ce n’est pas d’avoir le cerveau qui bosse vite et sans maître à bord. NON
  • Ce n’est pas un manque de « capacité » de communication. NON
  • Ce n’est pas parce que les autres sont en incapacité de comprendre ou de ressentir. NON

 

Faisons un tour du côté des « fausses pistes » 

Fausses car incomplètes. Testées, étudiées, confrontées et retestées :

  • Tout miser sur l’analyse, donc le cerveau, dans ses capacités de « méta-analyste » ? 

Incomplet et coupé de la partie dominante de tes réactions. Tu sais, celle qui fonctionne justement sous le seuil de conscience et cela pour fuir devant le lion qui te foncerait dessus ! (oui l’instinct de survie en gros).

Mieux que des mots : voici 1min 37 très explicite de ce que j’évoque. Attention, ça pique …

  • Tout miser sur les ressentis ? La dérive étant de finir en lévitation toute la journée en chantonnant des « aoummmmm » gutturaux mais qui ne vont pas t’aider à répondre à la correction du devoir de philo de ta cadette (qui elle, soit dit en passant, en a rien à f…. que maman vienne d’intégrer un groupe de yoga ayurvédique et revient béate, un collier de fleur autour du cou en murmurant des Namasté à tout va)

 

  • Tout miser sur le « silence en soi » et la quête d’un eden à atteindre? Cela en suivant une promesse des lendemains qui chantent ou celles que la vie commence après la mort. Tentant, mais déjà vu. Et, en attendant Godot, qu’est-ce que qu’on fout ?

 

Que nous reste-t-il ? 

Tout se résume par ceci (mais je vais décortiquer pour, je l’espère, éclairer au mieux mon message et te filer du grain à moudre pour l’hiver)

 

La V.I.E 

Comme :

  • Validation Interne Expérimentée/tale
  • Vérité Intime Etendue
  • Vision Illimitée Entendue

(liste non exhaustive, mais l’idée y est)

 

Postulat de base …

Tout a un rôle, une fonction, dans cette magnifique création complexe que nous sommes. Chai pas ce qui ou qui nous a conçu MAIS c’était surement un multipote ! Il a pensé à tout, sauf à nous donner le mode d’emploi….

Mais, ça fait justement partie du plan et du sens initial de la VIE : le découvrir ! (ce mode d’emploi !)

 

Existe-t-il un modèle type de « mode d’emploi » ?

  •  Fausse piste. Nous ne sommes pas tous pareil et/ou nous sommes tous singuliers ! Nous ne sommes pas un meuble en kit IKEA et les fonctions de base sont bien trop complexes pour tout enfermer dans un bouquin réducteur.

 

Maiiis, allons par là 2 minutes….

SI UN mode d’emploi unique était ECRIT quelque part… qu’est ce qui nous motiverait à jouer ?

Quel serait l’intérêt de chercher, de créer, d’inventer, d’assembler ?

Les certitudes ne laissent aucune place au rêve.

As-tu un quelconque plaisir si le livre que tu entames t’est déjà entièrement connu ?

Si tu sais qu’à la fin, le héro meurt et qu’à l’intérieur, aucune surprise ? Et qu’en plus, ce n’est pas du tout un héro plein d’hormones et de vie mais ken (le mari de Barbie) ?

 

Tiens tiens … cela ne ressemblerait pas à de L’ENNUI cela ???

Tu sais, ce fameux ennui qui te fait fuir ton taf en courant à 16h59, ou la tablée de « copains » qui répètent la même scène des « au fait, tu connais pas la dernière ? » … « oooh des fleurs … séchées… fallait pas (non non fallait pas !)  … »tu connais la blague de la blonde qui …. » et bla-bla-bla

Donc, pour poursuivre mon fil conducteur, (si si y en a un) le but du jeu n’est pas d’arriver quelque part mais de CRÉER son chemin. Ouiiiii, dis comme ça, ça parait classique et emballé-pesé-au suivant mais mais mais, arrête toi là-dessus, connecte toi quelques secondes à ce que cela pourrait représenter pour toi. Efface tes données négatives et met en veilleuse pour un instant ton analyste afin d’utiliser une de tes plus grandes ressources à sa juste puissance : IMAGINE ! (all the people …)

L’ennui c’est le serial killer de l’imagination.

C’est lorsqu’il n’y a plus d’espace, plus de place pour créer du monde magique. L’ennui est la maladie de L’ADULTE SERIEUX. C’est lorsque la fin t’est racontée alors que tu bavais déjà avec délectation sur la couverture colorée pleine de promesses. Ton esprit était déjà libre et le champs des 10 millions de possibles partaient dans tous les sens.

Tu as ressenti ???

Etais-tu stressé-e lorsque cela c’est passé ? Etais-tu anxieux-se ? Comment était ton énergie à ce moment-là ? (si t’as rien ressenti, recommence à l’injonction IMAGINE  😉 ) 

Là tu vois, si tu étais bien connecté-e à tes ressentis, tu viens de percevoir la puissance d’un de tes potentiels très probablement sous-utilisé ou mal-utilisé ou « non-autorisé » parce que contraire peut-être à ce genre de pensées que tu crois tiennes. Elles disent à peu près ceci  :

« et ça va te servir à quoi ? », « arrête de rêvasser », « et tu crois que ça va te faire manger ça ? » bla bla bla …….

(liste non -exhaustive)

Ces pensées s’intitulent dans le dico classique du dev pers : les « croyances limitantes »

Or, l’imagination = mise en images = créativité = enfant libre = connexions magiques = respiration = « nomadisme » (cfr le sujet de la fameuse newsletter du 12 décembre 18 qui EST l’élément déclencheur de cet article).

L’imagination EST, par excellence, le côté clair du « figeage », (si ça existe) c’est-à-dire la mort du petit cheval, la fin de toute créativité et donc la mort cérébrale (électro plat) ou donc l’ENNUI, qui fait bien plus de victimes que le cancer, le sida, la faim dans le monde et les accidents de train/d’avions/de bus réunis !

Alors, pourquoi bord** de m***e (auto-censure) (oui je m’énerve et alors ?) ne devient-elle pas notre priorité ?? Qui est le con qui a décrété un matin, en se grattant une c*****e, que la règle serait de suivre la règle ! .. Et qui serait en gros la suivante :

« Il est interdit de rêver. Le rêve est fait pour les enfants, les paresseux, les saltimbanques, les « sans cervelles » (ou les sans-dents ? Hum…), les « non constructivo-productifs ». La règle doit être suivie à la lettre. Toute incursion dans le monde de l’imagination sera sanctionnée par un aller simple en enfer, et les activistes seront détenus, en attente de place, dans les endroits spécifiquement conçus à cet effet, pour éviter toute contagion; à savoir : les théatres, les bibliothèques, les cinémas et tous les lieux de débauche contraires au bon ordre établi . Nul-le ne peut déroger à la règle. « 

 

Je me rassemble et repasse par l’analyste logique qui loge au premier

L’imagination parle d’images. Or, les images, comme les symboles et les rêves sont, par excellence, le langage de notre fameux inconscient !

Mystérieux c’te bête ? Oui et non, rappelle toi cette vieille légende qui dit que nous n’utilisons que 10 à 15 % de notre fameuse boite à connexions.

Ne serait-il pas temps de nous mettre d’accord d’augmenter un peu NOS capacités en nous autorisant à NOUS exploiter ? Augmentons notre puissance !

 

Qu’est-ce qu’on risque ? A part de sortir de l’ENNUI mortel et de nous étonner ???

Rappelle-toi, la « vraie fin de l’histoire », tu la connais … Alors, reste plus qu’à écrire ton épopée et tes rebondisssements pour qu’ils soient les plus excitants possible.

Eeeeeet, je refais un lien vers le côté clair de la force (spécial multipote) : nous avons TOUT ce qu’il faut pour cela ! Le multipote réunit structurellement (oui, c’est Noël) un ACCES spécial en illimité à la 4G direction ….

Tadaaaam « INCONSCIENTLAND » ! (juste à côté de sourisland…. mes amitiés à John Café 😎 )

 

L’offre propose :

  • Une pensée en arborescence naturelle
  • Un corps calleux du feu de Dieu
  • Une capacité créative assez impressionnante quoi que souvent négligée par « perfectionnisme » (castrateur)
  • Un accès à une HYPER sensibilité particulière : capteurs auto-programmés de la dernière génération
  • Grâce à cette surexcitabilité des capteurs, notamment l’olfactif (le plus primitif donc instinctif), la carte mémoire est super puissante (récupération des souvenirs par les chemins de l’affect)
  • De série aussi une rapidité de connexion impressionnante
  • Très intuitif
  • Capacité d’auto-réparation s’il respecte son fonctionnement sensible
  • Capacité d’auto-dérision
  • Grand besoin d’alternance entre l’activité et la charge (souvent négligé)
  • Grand besoin d’alternance entre LES activités !
  • Capacité de multi-fonctions à respecter pour utilisation optimale

Les moins … (et ouais, c’est c’lui qui colle au cul du plus … toujours !)

  • Energivore donc vital de bien le recharger
  • Ne pas jouer à vider toute la batterie
  • Un tantinet susceptible et parano (et ouais sensible)
  • Justicier dans l’âme, ne pas laisser trop longtemps devant les infos (stt après minuit  😉 )

Les mises en garde pour utilisation optimale :

  • Ne fonctionne à sa pleine puissance qu’interconnecté avec d’autres joueurs !
  • Tout seul, il déprime car besoin de stimulations pour que la batterie ne se grippe pas (tendance fâcheuse à l’auto-destruction)
  • Peut avoir du mal avec appareils plus traditionnels (sauf s’il accepte son fonctionnement et qu’il accepte de repasser en système DOS)

 

L’essayez, c’est l’adopter !

 

« Non » moralité de mon histoire

Messages du jour comme autant de propositions ouvertes

Pioche ce qui connecte, interroge ce qui gratte ou agace, accepte ce qui contacte et se transforme. Et, si tu veux joindre l’utile à l’agréable … réagis en marquant de ton passage notre rencontre en cet instant.

La transformation intérieure commence avec la parole ! Libère la, elle se transformera et fera de la place dans ton nouveau « chez toi ».

  • Mets tes excuses dans une boite et jette la boite au fond de l’océan.
  • Ouvre une autre boîte et commence maintenant, à la lecture de ce post, à faire le tri
  • Arrête de rêver de rêver, et recommence à rêver ton monde en couleurs
  • Décide que le chemin devienne TON projet et que pour apparaître et exister, il va te falloir lever les fesses du fond de ta grotte des lamentations pour faire une réunion au sommet (avec tous les habitants qui logent dans ta tête et ton cœur pour qu’ils s’écoutent et puis se parlent – cet ordre des choses là est primordial)
  • Tu connais mieux que quiconque ce que tu ne veux pas, et si tu t’attaquais à ce que tu veux ?
  • Arrête d’en vouloir à la terre entière, ou à toi …. Tu perds ton précieux temps
  • Tu es courageux, je le sais ! (sinon, tu ne me lirais plus)
  • Rappelle toi que ce n’est pas l’échec qui te fait peur (on n’a peur QUE de ce qu’on ne connait pas), c’est d’être coincé quelque part où y a pas de sortie …
  • Pour être UTILE aux autres, il faut commencer par ressentir ce que veut dire UTILE
  • Pour être UTILE aux autres, il faut le vivre de l’intérieur (et pour de vrai)
  • L’autre n’a pas besoin de KEN comme modèle, il a besoin d’un être sensible et imparfait … humain
  • Arrête d’ajouter des options à ton forfait, apprends à « performer » comme tu es naturellement conçu
  • Toi qui aimes faire des liens, attelle toi, sans relâche, à relier ta tête, ton cœur et tes ….. trippes (big up gd corps malade) pour inspirer celui qui n’en a pas les moyens pour l’instant et là, tu seras UTILE.
  • Accepte intensément que la confiance est une conséquence de tes expérimentations sans relâches (elle n’arrive donc qu’après et s’entretient comme le moteur de ta Harley ou de ton scooter)
  • Ne baisse pas les bras, souris (non c’est pas niais, « la fonction crée l’organe ») et trouve tes AMIS de voyage (si si rappelle toi : interconnexion)
  • Retrousse toi les manches et fais de ta VIE une aire de JE(U) expérimentale.
  • Si tu manques d’inspiration/méthode/coupdpiedaucul, trouve toi TES guides pour te faire aider…T’es pas tout seul Jeff (toujours finir par du Brel) Choisis ta cordée !

Pour terminer ….

(ce que je repousse toujours un peu … d’où la longueur de mes articles)

Cela fait un paquet de temps que je me pose sur le « comment je pourrais transmettre » de l’universel, afin de toucher et de partager ce qui est expérimenté au plus grand nombre ??… Tout en parlant à l’individu que tu es, unique et singulier dans ton histoire, ton moment et ta sensibilité

C’est une volonté qui me colle au cœur et c’est mon moteur aussi.

Je sais que tu la partages, toi qui me lis. Si j’ai bien UNE seule certitude en ce jour, c’est que nous, être que je vais qualifier d’HYPER (ceux qui ressentent beaucoup), sommes mus, au fond de nous, lorsque nous grattons vers l’essentiel, par le BESOIN de nous sentir connectés aux autres.

« Les BESOINS sont le tronc commun de l’Humanité » (Isabelle Padovani)

Reconnaître cela nous octroie le POUVOIR, le reste sont des « excuses » (mené par nos peurs).

Habités par une quête « un peu » essoufflante je dois nous l’accorder SAUF si nous prenons le temps de nous poser les bonnes questions pour enfin trouver les justes réponses… celles qui résonnent et nous font vibrer.

 

Trouve ton « LA » et Prends soin de TOI !