Pourquoi tant de haine ?

Pourquoi tant de violence interne ?

Pourquoi ne pas l’ouvrir et poser son crapaud pour ne plus l’avoir à l’intérieur, à le laisser nous auto-digérer ?

Pourquoi prendre sur nos frêles épaules TOUUUUTE la misère du monde, pendant que les zôt’ se demandent si l’O.M va gagner, si le gaz va cesser d’augmenter, si slip ou string, si Carlos Ghosn a enfin été mis face à Ses responsabilités ??

V’là bien des questionnements qui font de moi (nous ?) ce que je suis (nous sommes ?) !

Wooo monde cruel !

Cet article, au démarrage, pourrait être intitulé « ode à la colère », autant que « auto-flagellation d’un zèbre en Beyrouth » (référence imprimée dans mon crâne de gosse, dans le rayon « mes incompréhensions d’enfants »)  …

Oooh moi, qui prône « l’expression de soi » comme un drapeau planté à l’arrivée d’un marathon pour unijambistes, comme LA CHOSE ULTIME à faire pour se libérer du carcan et sortir de notre labyrinthe triangulaire Karpmanien*.

*bourreau-victime-sauveur

Moi, qui accueille, oreilles, bras et cœur grands ouverts, et ceci, quotidiennement depuis bientôt 1 année et demi, des zèbres bâillonnés, à qui j’hôte délicatement leur instrument de torture pour les laisser respirer … et s’exprimer enfin avec une délivrance qui  leur tire souvent une larme de l’œil (ou un torrent); ce qui me renvoie en retour un « félicitation, ça marche »

Pourquoi du coup, (insulte au choix), est-ce toujours aussi difficile d’ouvrir en grand ma boite à mots pour remettre l’autre, qui ne voit strictement rien à ma souffrance, à sa place de têtard ???

Plus simplement et moins théâtralement 🙂 , 

pourquoi ne lui dis-je pas juste ce que j’ai à lui dire quand j’ai besoin de lui dire ??

Et bien, cher-e multipote hypersensible, la réponse, dans toutes ces souffrances contenues que tu partages peut être est la suivante :  ….

Y en a pas !

 

Haha … Merci, belle journée !

L’expression … ça fait du bien, décidément ! 

 

Plus sérieusement, partons à la ….

Chasse au mirage !

Tout ceci est un « trompe-l’œil » et/ou un « crève-cœur ». (insulter l’autre pour s’apaiser)

Prenons un peu de hauteur pour décortiquer le homard délicatement (challenge) afin d’en déguster la chaire avec un immense plaisir jouissif.

ET, pour aller droit au but (rire du nez ), je te plante le décor de cette pépite que je t’offre en ce jour. 

Je te partage ce que mon avocat (oui, oui) m’a balancé, au téléphone, un soir de janvier 2013, comme « historiette » pour me faire « réfléchir » et qui n’aura eu de cesse, de m’interroger depuis lors.

Petite mise en contexte de départ que je vais décrire factuellement pour le coup …

Je sors des décès successifs de mon père (septembre), ma mère (octobre) et mon beau-père (décembre) et je me retrouve dans le bureau de mon avocat, à Bruxelles, à découvrir que des « choses pas très catholiques » se sont passées dans des histoires sordides d’héritage. Sortant de 10 années de procès* (d’où présence dans le bureau d’un avocat) avec/contre ma mère, je suis « heuuu comment dirais-je ? », avec la capacité réflexive du … poisson rouge ? Eteinte et logée en mode amibe : 2 de tension et 3 de QI

*Si tu débarques en ce lieu … le début de l’histoire (ou contexte) sera ici : « Sauvons le sauveur »

Le nez creux de celui qui m’aide, ayant flairé évidemment le truc chelou, me place devant l’innommable pour moi : la scène du jugement de Salomon s’imprime sur ma rétine. Un choix impossible se profile, où les 2 voix dans ta tête te donnent autant raison que tort. : celui de la logique contre celui de la « morale intérieure »…

En gros et pour résumer : procès terminé et « gagné ». Justice des hommes rendue sur ce qui a fait de cette décennie la pire de ma vie.  Un enfer silencieux qui se termine par un deuil (3 en tout). Le souffle à peine retrouvé, je me rassure en me disant que je vais pouvoir panser mes blessures et là, rebond. Le diable a fait des petits, va falloir récupérer les créances sur le compte d’une des « héritières ». Cela ne se finira donc JAMAIS ?? Les racines du mal sont profondes…

 

« Au-revoir madame Gaillard … Bon retour dans le sud, on se rappelle quand vous aurez pris votre décision »

 

Pfiouuuuuu. Je te passe l’état comateux du retour ET l’état zombiesque des nuits suivantes jusqu’au « coup de fil » soit-disant salvateur quelques jours après.

Et là, je bafouille, successivement l’argumentaire de la défense et celui de la partie civile. Effets de manches excepté, j’argumente au téléphone pendant 10 bonnes minutes la soupe infâme de mes pensées qui se déchaînent les unes contre les autres, me laissant comme un arrière-goût de « commerciale tentant de vendre les mérites du vin à un AA »

Et mon cher ami « expert-séquentiel-cartésien- Salomon » de me répondre : « je le savais. Vous avez dû passer de jolies nuit depuis notre rencontre, non ? »

Grrrrrr, sadique !

Il me dit alors. « Je vais vous raconter une histoire … »

 

 » ……………..  » :   (bruit de mon hébétude)

 

« Un soir, un couple se couche. L’homme se tourne, se retourne et se retourne encore dans son lit.

Sa femme, un peu excédée lui demande alors : « mais que se passe-t-il donc ? »

« pourquoi ne dors-tu pas ? »

L’homme, après hésitation,  lui répond : « beeeen, c’est que je suis énervé et inquiet. »

Il hésite un peu et finalement lui avoue : « en fait, je dois des sous au voisin. Je dois lui rendre demain matin …. Et je ne les ai pas. Cela m’empêche de dormir ! »

Un peu interloquée, la femme essaie de le raisonner.

Les minutes passent et l’homme recommence à gigoter.

La femme se lève enfin, d’un bon, se dirige vers la fenêtre qu’elle ouvre en grand.

Elle se penche et hurle « Eeeeeeet, voisin ??!!! Mon mari ne pourra pas te rendre les sous demain, il ne les a pas. Bonne nuit ».

Elle se recouche, sous l’œil ébahit de son mari …

Elle le regarde et lui dit ; « voilà. Maintenant, tu peux dormir…. C’est lui qui ne peut plus ».

 

J’ai pris ma décision alors. Je lui dit :  « ok, j’appelle ma sœur. »

 

Que s’est-il passé ?

Sur cet exemple, tout sauf drôle je te l’accorde mais c’est le mien, j’ai vécu intensément ce que nous vivons tous trop souvent, et qui est de l’ordre de « l’aveuglement enfermant péremptoire culpabilisant ». (SI, je peux et j’y place un copyright 😉 )

Nous sommes, une fois l’alerte de « danger sensible » enclenchée, rendus dans un lieu où la porte de sortie se blinde et où nous avons perdu le code. Et c’est là que nous « commençons » à avoir tort et transpirer aussi !

 

Tort ???

Oui, tort. Non, dans le sens de « paaas bien » moralisateur et éducationnel. Tort dans le sens « déséquilibre » et prise sur nos épaules de ce qui ne nous appartient pas !!

Nous prenons TOUT : l’accusation et la défense, et, se faisant, nous ôtons à l’AUTRE sa part de responsabilité dans la relation et SON libre arbitre.

Tout est question d’équilibre et/ou de vase communiquant. L’enfer étant pavé de bonnes intentions, nous y jouons alors le rôle de tout prendre de la part du gâteau relationnel à se partager et, par effet factuellement indémontable logiquement et mathématiquement, nous choppons une partie revenant à l’autre pour soi. Et ce n’est pas JUSTE. L’équilibre est rompu.

Nous nous chargeons alors de notre décision et de celle de l’autre aussi, qui ne nous appartient pas.

Va tenter alors de « gérer » cela… IMPOSSIBLE !

Que ce soit en « bien » ou en « mal », c’est la même chose et il nous faut sortir de ce « manichéisme » pour prendre conscience de cette dynamique essentielle afin de s’en libérer.

Tant que nous ne touchons pas cela, nous restons « englués » dans une réelle partie de ping-pong où le jeu est faussé. Au plus on joue, au plus la spirale nous enferme et on y laisse de l’énergie.

La prise de recul est nécessaire et le jour où tu réussis à reculer suffisamment, tu te rends alors compte que tu joues tout seul et que tu cours autour de la table. L’autre ne fait plus partie de la partie. Tu t’essouffles tout seul.

 

Qu’est ce qui fait que nous prenons la part de l’autre ?

Un élément déclencheur, une incompréhension, une spirale et une illusion.

Tout ceci est une simplification pour sortir du jargon psy et collée avec mon expérience vécue en séances et avec mon cobaye favori (moi 😎 )

  • L’ élément déclencheur :

Au tout début début … (stade tetard …)

Tout part d’un moment où, face à une attente plutôt physiologique je dirais, nous nous sommes sentis en danger, en insécurité. C’est-à-dire, dans l’impossibilité de réduire soi-même le « stress ressenti ». Sans moyens de .. ; dépendant de l’autre qui ne répond pas, n’éteint pas ce qui va s’imprimer comme une « zone danger ». Elle se range bien souvent dans la zone « sub ou in-conscient » mais elle existe. (rmq : inconscient ne veut pas dire ici « impossible à retrouver mais sous le seuil de la conscience)

Je remonte loin; mais force est de constater que TOUS les « hypersensibles » croisés* la reconnaissent. Je dis physiologique car elle est bien plus de l’ordre de l’instinctif. (*ceux qui consultent)

Cette zone est réactive mais se trouve camouflée pour ne pas être ré-activée. En psycho, vous la trouverez sous le doux nom de « refoulée ».

Tous les Hommes en ont, des zones sensibles … Au plus nous parlons d’HYPERsensibilité, au plus cette zone peut-être « intense » et intensément ressentie et donc aussi intensément refoulée.

  • L’incompréhension

Est, comme son nom l’indique, l’impossibilité pour la tête de piger ce que le corps ressent. On est « hors moyen » et la tête, du coup, essaye de piger sans cesse ce qui s’est passé. Elle prend le dessus. Elle met en mot et/ou en réaction pour tenter de diminuer la sensation et prend la place pour résoudre… jusqu’à prendre toute la place chez certains. Nous évoquons ici les « mécanismes de défense »

Nous retrouvons, à son extrême, le concept ici de « dépersonnalisation » qui est une sorte de coupure entre l’intellect et les ressentis. Comme si les 2 ne communiquaient plus.

  • La spirale ..

Et bien, c’est comme le chien qui se mord la queue. Le corps (ressentis) tente de lancer des pistes pour rejoindre la tête mais celle-ci, ayant pris « peur » des ressentis, s’échappe ailleurs. Et le système de se renforcer alors avec les alléas de la vie, les chaos etc. D’autant plus que le psychisme humain est ainsi fait que, comme un « ami qui vous veut du bien », il va vous replacer dans les mêmes situations en vue de résoudre le problème ressenti (j’aurais envie de dire « le con ».. Mais c’est pour notre bien)

  • L’illusion :

La tête gonfle et trouve des « solutions » mais ce ne sont que des camouflages. Le corps continue de couiner et la tête d’étouffer les messages, prenant les messages du corps (symptômes) comme des signaux à taire … par crainte. (et vive la médecine occidentale hum hum)

Cela se passe en nous et ce qui se passe ensuite à l’extérieur est la même chose, comme un écho évidemment. Comme nous n’avons AUCUN pouvoir sur l’autre et ses ressentis, nous ne pouvons libérer tout ce « jeu de dupes » qu’en nous. Yesss, tu sais, cette fameuse phrase qui te fait grincer les dents de frustration aujourd’hui « les solutions sont en toi » …. Et bien, pourtant, c’est la stricte VERITE !!

 

On en arrive au fameux

Comment qu’on fait ???

Et bien, on va décider de l’OUVRIR !! Ce robinet entre la tête et le corps !!

SI SI, aucun autre moyen ne te permettra d’aller « rapidement » re-connecter tes 2 tuyaux entre eux…. Pour pouvoir remettre le sens du flux à l’endroit.

 

 

Pourquoi dans ce sens ?

Question naïve : « cela fait combien de temps que tu t’introspectes ?? »

« Avec quel organe t’introspectes-tu ? »

« Et tu y es arrivé ?? »

 

Ok, on continue.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que « l’histoire » racontée par la tête est souvent « proche » de la réalité vécue mais elle évite étonnamment toujours quelques zones qui « ôôô bizarre » touchent LA ZONE qui fait peuuuuuur et qui se traduit par :

« mais nomdidju, je comprends pas pourquoi cela m’arrive… »…

Ou, autre traduction : « je sais ça, je sais ça aussi mais pourtant, je n’y arrive pas »

Ou « j’ai des crises d’angoisse … »

Ou « tiens, j’ai à nouveau rencontré un manipulateur … »

Parce que, si tu as bien tout suivi l’exposé du dessus : le corps crie et la tête elle, prend peur du cri; parce qu’au stade têtard, quelque chose à imprimer cela alors que la tête n’était pas encore au point. (pas de langage ni de réflexion/conceptualisation etc). Donc, réflexe. Et, si, « l’impression » a été forte, ou répétitive, cela le renforce.

Donc, ce n’est pas par la tête que les tuyaux vont pouvoir se raccorder ! cpfd

—) Mais par le corps, donc les ressentis et les émotions…. !

C’est pour cette raison que mon passage chez le psychanalyste, après les décès, m’a fait du bien évidemment, mais n’a pas suffi à faire péter le bouchon vers ma « zone de danger » !

Et, c’est pour cette raison que nombre d’entre vous me disent : « j’ai été voir des psy -chiatres/-chanalystes/-thérapeute (tradi) et, à un moment, on avait fait le tour. Ce n’est pas parce qu’ils sont incompétents (pas tous 🙄 ) maiiiis parce qu’ils utilisent « la tête » et nourrissent, avec toi, la part qui est « aveugle »…

D’où le choix pour moi de la thérapie brève (pour moi et pour les autres, parce que j’adore faire pleurer les autres 😆 )

 

Ok, donc faut que je pleure ?

Oui et non, pas de suite … (sauf si mon article te tire les larmes  😉  )

Faut que tu parles d’abord pour exposer l’histoire que la tête connait et que le « sorcier choisi » (thérapeute, « ami » qui te veut du bien (maiiis pas recommandé), outil, personne miroir) ressente où la tête évite La zone pour t’encourager à t’arrêter et toucher la porte fermée. Une fois qu’elle est repérée, les ressentis vont te le faire savoir et une fois que tu acceptes de te laisser glisser sur le toboggan, c’est parti en direct vers woufff …. Le centre névralgique.

Et là … tu pleures (ou en tout cas, tu ressens fort ….)

 

Et c’est tout ?

Nan, quand même … ça se mérite merde, le titre de thérapeute (mouhaha). Une fois touché, c’est-à-dire première prise de conscience, c’est là que ça chauffe, un décryptage doit se faire.

La tête et le corps sont alors dans une zone d’échange où la mise à jour va se faire, avant calumet de la paix. Ils doivent se reconnaître et se raconter entre eux l’histoire et se rendre compte alors des « malentendus ». Là c’est bon, pour le début. Une nouvelles histoire va pouvoir être écrite et cela prend évidemment du temps… puisqu’en général, ça fait un paquet de temps qu’ils ne se sont pas retrouvés.

 

Et cette fois, c’est tout ?

Non, là, la tête et le corps s’embrassent et remercient chaleureusement la thérapeute qui pleure dans son coin… d’émotions 😉

 

Et comment la thérapeute sait que c’est la bonne porte ?

Elle ne le SAIT pas. Elle RESSENT !

Et, (personnellement évidemment) parce qu’elle en a fait son « zèbre de bataille », lorsqu’elle montre les portes et que l’autre réagit, elle se connecte à ses propres ressentis qui lui confirment que c’est là. Se faisant, elle invite l’autre à oser y aller en « sécurité ». Elle l’accompagne

Elle était la plus bouchée de la terre il y a encore quelques années de cela (en tout cas, celle qui te parle à l’instant).

Elle a cherché pendant de loooongues années à faire parler son cœur par sa tête, allant jusqu’à y passer 5 années à la fac, le cul collé à un banc où elle notait avidement ce qu’elle pensait être « LA SOLUTION »… Et un jour, elle a pigé que ce qu’elle « évitait » sans le savoir était la plus pure merveille du monde pour elle : parler avec son cœur.

 

Et, la thérapie est obligatoire alors ?

Naaaaan. Elle n’est « juste » que si tu n’y arrives pas/plus. Que lorsque tu as déjà bien essayé mais que la souffrance et l’incompréhension te deviennent vraiment pénibles. C’est pas simple de demander de l’aide et sonner à la porte d’un-e inconnu-e… c’est CO(e)URageux ! Message de la part en toi qui n’en peut plus de ne pas être entendu-e, malgré les cris !

Les meilleurs indicateurs pour te poser sur cette éventualité sont :

  • ressenti de fatigue (permanent ou en fréquence élevée) 
  • Perte d’énergie / variation in-confortable/-compréhensible d’humeurs 
  • Irritabilité et agacement ou « agressivité » soudaine
  • stress / insomnie / somatisation
  • Dépression ou grand huit émotionnel épuisant
  • Angoisse, confiance à -10, auto-flagellation, pensées noires, ruminations, parano, susceptibilité

Liste non exhaustive, mais tous ces signes sont les indicateurs d’un « combat intérieur ! « . Quelque chose en toi cherche à être ENTENDU mais tes mécanismes de défense empêchent de comprendre ce qui se dit !

En réalité : Tu T‘épuises

Du côté clair de la force, tu peux aussi te trouver dans du « moins négatif  » en apparence, mais tout aussi épuisant :

  • Tu n’arrives pas à « choisir » et ça t’interroge (ou te rend marteau)
  • Tu repousses, sans savoir pourquoi, des tâches OR c’est pour un projet qui te tient à coeur
  • Tu n’arrives pas à « dire » ce que tu ressens 
  • Tu sens que tu es juste « à côté de toi »
  • Tu veux sauver le monde mais tu ne sais pas par où commencer (en boucle)
  • Certaines tâches te « paralysent »….

 

Et je peux faire des trucs qui me feraient avancer seul-e ?

Oui !! L’ouvrir !

Ne pas rester avec une boule de feu dans le bide lorsque tu la ressens … exprime toi !

  • Parle toi à voix haute (on s’en fout des autres, mais, fais-le quand même seul-e au début 😀 )
  • Ecoute ce qui se dit en toi lorsque tu évoques une idée/un rêve/un souhait 
  • Ecoute sans juger … avec, en intention consciente, (même si tu t’imagines schizo) « que veux-tu me partager ? »
  • Note tes « observations » comme un « témoin » 
  • Ressens où/quand ça se tend … sans chercher des solutions .. et aussi quand ça se détend.
  • Observe toi « conseiller les autres » ou « comment je suis quand j’écoute l’autre que je désire aider »
  • Observe la zone où tu pètes une durite …. (sans chercher de solution)
  • Porte ton attention au ressenti physique (lieu, impression, sensation)
  • Ris de toi au moins 5 fois par jour ! (« dégravitude » & prise de recul qui fonctionnent, crois-moi)

Bref, sache, même si cela te parait chinois en ce jour et/ou inaccessible que c’est rapide de retoucher et de re-connecter car, si tu es ici, en train de lire ma tartine jusqu’ici …. c’est que la part qui cherche à communiquer a des choses à te raconter ! 

 

Fais lui confiance, pour une fois …

Et, prends soin de toi !

Et si tu as besoin d’un éclairage de sorcière, clic ci-dessous en chantant 

à voix haute (sinon, ça marche pas) ! 

Supercalifragilisticexpialidocious

« Dites seulement ce petit mot et alors vous aurez tout dit

Mais attention car il pourrait se faire qu’il change votre vie »